lundi 15 juin 2020

Lyme : que les malades « arrêtent leur cinéma » !!!


Difficile, en voyant son sourire radieux, d’imaginer l’enfer que Laura Arnal a traversé.

Pourtant, elle a échappé de très peu à la mort.

Elle avait 35 ans, 3 enfants en bas-âge, une excellente santé et une vie heureuse et équilibrée, quand elle a été victime d’un « enlèvement ».

Et c’est l’identité de ses ravisseurs qui fait froid dans le dos :

Ses médecins…

…qui lui ont « kidnappé » 8 ans de sa vie !!!

Et le pire, vous allez voir, c’est que cela peut recommencer demain matin.

Avec n’importe qui.
 

Le cauchemar commence…


Pour Laura, tout déraille après des vacances aux Etats-Unis. De retour chez elle, la jeune femme se sent brusquement très fatiguée. Elle a de la fièvre, des maux de gorge, des courbatures…

Un « petit passage à vide » ?

Non. Les symptômes s’aggravent.    

Pire, il y a bientôt de nouveaux symptômes, plus inquiétants : des crampes, de vives douleurs aux dents, aux oreilles, de la tachycardie (le cœur qui bat très vite), des démangeaisons…

Laura a du mal à respirer, des montées de lait inexpliquées, de violentes douleurs dans les mollets…enfin elle se décide à voir un médecin.

Et là, le cauchemar commence…
 

69 médecins : Zéro diagnostic fiable…


Laura consulte un premier médecin, puis deux, trois, cinq… sans qu’aucun ne comprenne la cause de ses symptômes.

Un coup on lui dit qu’elle est « dépressive », un autre qu’elle est « hypocondriaque », une autre fois qu’elle a la mononucléose ou une fibromyalgie.

« Dans le doute », on lui donne des antidépresseurs et un médecin prescrit même une cure de repos au sein d’un établissement thermal.

Mais son état de santé se dégrade de jour en jour.

En tout, elle consultera 69 médecins.

Soixante-neuf, vous avez bien lu. Et PAS UN qui lui posera la seule question qui aurait pu tout changer…
 

« Un grand professeur m’a conseillé d’arrêter mon cinéma ! »


Vous trouvez peut-être qu’il est excessif de comparer la longue errance médicale de Laura à un « kidnapping » ?

Alors lisez plutôt son témoignage :

« Je suis allée consulter un grand professeur. Il m’a montré mes résultats d’analyse en m’assurant que je n’avais RIEN, que c’était uniquement dans ma tête.»

 « Il m’a conseillé d’arrêter mon cinéma, d’aller me reposer chez mes parents puis de recommencer à m’occuper de mon mari et de mes enfants ! ».
 

« Arrêter son cinéma »?!


Pour du cinéma, voici à quoi ressemble la vie quotidienne de Laura :

Après une lourde opération du cœur et plus d’une vingtaine d’injections de cortisone, elle est en chaise roulante, terrassée par une douleur au mollet qui est remontée jusqu’au bas du dos.

Elle se met aussi à avoir des trous de mémoire inexpliqués.

Après son corps, voilà que sa tête la « lâche » à son tour :
« Un jour, j'ai oublié l'imprimante que j'avais achetée sur le parking de la boutique. J’avais la trouille d’oublier les enfants. J’ai oublié leurs anniversaires… je m’en voulais beaucoup, j’avais honte. »
Alors pour se sauver, Laura tente le tout pour le tout.
 

Libérée de son calvaire par…une baguette !

La baguette de biorésonance envoie des ondes électromagnétiques pulsées, indolores et inaudibles qui mesurent les fréquences des cellules de l’organisme et captent les ondes perturbées émises par les cellules malades.
Sur les conseils d’un proche, elle part, en chaise roulante, consulter un médecin allemand qui emploie une méthode « non conventionnelle » : la biorésonance magnétique.

Cette thérapie enregistre les ondes électromagnétiques émises par le corps au moyen d’un appareil muni d’une baguette électromagnétique. Elle est utilisée pour faire un bilan global de l’activité électrique de l’organisme, et repérer d’éventuelles anomalies électromagnétiques au sein des organes.

Au cours de la séance, le thérapeute tient dans une main de petites fioles contenant des bactéries et dans l’autre, sa baguette biomagnétique …

Et soudain, la baguette vibre devant une fiole : celle qui contient Borrelia burgdorferi, la bactérie responsable… de la maladie de Lyme !!

Enfin la cause est identifiée ! C’est un immense soulagement pour Laura.

Mais c’est loin d’être la fin.

La jeune femme commence par suivre une cure d’antibiotiques. Seulement les médicaments ne fonctionnent pas et rendent ses douleurs encore plus insoutenables, tandis que le test Elisa qu’elle effectue, le seul autorisé par la Haute Autorité de Santé pour détecter officiellement la maladie de Lyme, s’avère négatif

De nouveau confrontée à un mur, Laura Arnal entame alors ses propres recherches :
« Je suis ingénieure, je devais comprendre ».

« Alors, pendant les deux heures de temps journalier où mon cerveau fonctionnait, j’écoutais des conférences, je lisais des ouvrages spécialisés. »
Persuadée qu’elle est proche de la fin, elle parvient à obtenir un rendez-vous auprès d'un spécialiste de la maladie Lyme aux Etats-Unis.

Après un diagnostic symptomatique, et non basé sur les tests sanguins qui se sont tous avérés négatifs, c’est lui, le 70ème médecin, qui va lui confirmer qu'elle est bien atteinte de la maladie de Lyme.

Je vous révèlerai dans un instant le protocole thérapeutique qui a lui permis de guérir, et de retrouver une vie normale « à 95 % ».

Mais avant cela, il faut bien comprendre une chose.
 

« La maladie de merde qui n’existe pas »


Si Laura Arnal a réussi à se soigner in extremis, c’est parce qu’elle a refusé l’impasse du système de santé officiel, qui continue encore bien souvent de nier l’existence de la maladie de Lyme.

Mais combien d’autres patients se retrouvent privés de diagnostic, de soins, parce que leur médecin ne « croient » pas à la maladie.

Récemment encore, au CHU de Dijon, un autre « grand professeur » a mis une patiente à la porte de son cabinet en lui expliquant que Lyme était une « maladie de merde qui n’existe pas »

En  2019, en France, on en est là…

On connaît pourtant parfaitement l’origine de Lyme : les bactéries du genre Borrelia burgdorferi, qui appartiennent à la famille des spirochètes, tout comme la bactérie de…la syphilis, et qui sont transmises par les piqûres d’insecte, en particulier les tiques.

Lorsqu’elle est transmise par piqure, il faut souvent se fier pour la constater à « l’érythème migrant », la rougeur qui grandit progressivement autour de l’endroit de la morsure.

Or, premier problème, dans plus d’un cas sur deux, cette rougeur n’apparaît pas.

Pourtant les bactéries sont bien là, et elles s’infiltrent dans tous vos organes, tous les tissus de votre corps, y compris les os.

Elles attaquent ainsi tous les systèmes, dont le système nerveux, le cerveau, entraînant des lésions potentiellement graves et surtout très variées, avec à la clé paralysies, fatigues chroniques accablantes, douleurs articulaires, troubles cardiovasculaires, troubles psychiatriques, …

Deuxième problème : lorsque l’infection devient chronique, la maladie de Lyme peut être confondue avec quasiment toutes les maladies.

C’est ce qui explique pourquoi la borréliose est parfois surnommée « la grande imitatrice », et pourquoi on pense que dizaines de milliers de personnes seraient mal diagnostiquées par la méthode classique, le test Elisa, celui qu’on demande en première intention en France.
 

Une liste de médecins « à abattre »


C’est notamment l’avis du Dr Christian Perronne, infectiologue à l’hôpital de Garches, qui a signé la préface du livre de Laura Arnal :
« L’histoire de Laura est criante de vérité. Elle représente le parcours type de centaines de milliers de personnes en France, qui souffrent le martyre sans comprendre pourquoi et surtout, sans que les médecins consultés, ne comprennent non plus pourquoi ».
Confronté à ses propres limites, la médecine officielle se braque. Et ce sont les malades qui paient les pots cassés.

Quand le test ELISA est négatif – alors qu’on estime que les faux négatifs représentent plus de 60 % des tests -  les médecins ont interdiction de poursuivre leurs investigations avec le test Western Blot, beaucoup plus fiable !

S’ils le font quand même, pour essayer d’aider leur patient, c’est la sanction immédiate :
  • Le Docteur Marc Arer, médecin généraliste à Saint-Etienne, s’est vu notifier par l’Assurance maladie une interdiction d’exercer de six mois pour avoir prescrit trop de tests de dépistage...

  • Raphaël Cario, médecin dans la banlieue de Lyon, a été condamné à quatre mois de suspension, pour « des soins non-conformes aux données actuelles de la science » et « des prescriptions abusives de tests de dépistage de borréliose ».

  • Et que dire de Viviane Schaller, directrice d’un laboratoire utilisant des tests de détection de Lyme en dehors du protocole officiel, condamnée pour « escroquerie » à neuf mois d’emprisonnement avec sursis et 300.000 euros d’amende.

  •  Etc.

Aux États-Unis, en revanche, non seulement le médecin est libre de prescrire le Western-Blot malgré un Elisa négatif, mais il a même le devoir de dire à son patient qu’un test négatif n’est pas la preuve qu’il n’est pas touché par Lyme !

Et alors que les tiques infestées par la borrelia prolifèrent aujourd’hui en France, on se demande QUAND les autorités vont adapter les protocoles officiels.
 

En 2019, les patients ont le droit de savoir qu’il est POSSIBLE d’être correctement protégé, diagnostiqué…et soigné !


Pour éviter le terrible engrenage qu’a subi Laura Arnal - et avec elle des centaines d’autres malades qui se sont heurté à un mur de mépris - nous publions un dossier exceptionnel consacré à la maladie de Lyme dans le numéro de juillet de Révolution Santé :
 

« LYME: L’ENQUETE SPECIALE »
Face au déni,
les nouveaux remèdes de la médecine naturelle

Ce dossier a été réalisé par le Dr Thierry Medynski, membre fondateur de la « Fédération Française contre les maladies vectorielles à tiques » et du groupe de travail sur la borreliose de Lyme à la Haute Autorité de la Santé.

Ce médecin a, il faut le dire, un parcours hors du commun : familier de la haute montagne, il a survécu 7 jours sans eau ni nourriture sur les hauteurs du cirque de Gavarnie, où il s’est retrouvée coincé par le blizzard et le mauvais temps.

A l’époque, même le commandant des secouristes reconnaissait que c’était « la première fois qu’il voyait un mental aussi exceptionnel, en vingt ans de service ! »2.

Mais son combat le plus impressionnant est celui qu’il a mené… contre la maladie de Lyme.

Car le docteur Medynski n’est pas seulement un expert de haut vol, qui a soigné des centaines de patients atteints de Lyme.

Il a lui-même été atteint d’une forme chronique de la maladie.

Il a vécu lui aussi des mois de torpeur, d’intense fatigue, de troubles du langage et de la concentration, jusqu’à ne plus pouvoir conduire.

Il a connu l’errance médicale avant de trouver ENFIN un traitement efficace contre la maladie et d’expérimenter pour lui-même le pouvoir fascinant de la pharmacie naturelle anti Lyme.

C’est dire si son témoignage et son expertise ont quelque chose de rare, qu’il détaille dans ce numéro exceptionnel de Révolution Santé.

Au cœur de sa stratégie anti Lyme, on trouve d’abord un protocole de dépistage minutieux : à quels tests se fier et comment les interpréter, quels sont les nombreux symptômes qui doivent vous alerter (de simples troubles de l’humeur à la paralysie faciale et à l’insuffisance cardiaque).

Mais ce n’est pas tout.

Le Docteur Medynski y dévoile aussi toutes les VRAIES mesures de protection contre les tiques :
  • Une molécule très spéciale, produite à partir d’eucalyptus citriodora, qui agit comme un répulsif ultra-efficace;

  • Les huiles essentielles (comme le complexe Aromaforest) à prendre par voie orale si vous êtes dans une zone endémique ;

  • TOUS les signes qui doivent vous alerter (et auxquels vous n’avez probablement pas pensé) même si vous n’avez pas remarqué de piqûre ;

  • Lorsqu’on évoque Lyme, on pense bien sûr aux forêts, mais il existe un autre endroit à risque qu’on soupçonne beaucoup moins, où ont lieu 30 à 50 % des piqûres de tiques.

  • Etc.

Neutraliser Lyme en 7 jours ?!


Dans le dossier « Lyme, l’enquête spéciale », vous allez découvrir les nouveaux traitements qui ont prouvé leur efficacité et dont on ne parle jamais :
  • Une étude menée en 20183 a révélé que 10 huiles essentielles (dont l’eucalyptus et la myrrhe) avaient le pouvoir de neutraliser la Borrelia burgdorferi en seulement 7 jours, entraînant une disparition totale des bactéries en 21 jours.

  • Une fleur venue d’Asie (Polygonum cuspidatum) aurait le pouvoir de stopper les réactions inflammatoires en cascade causées par la Borrelia4 ;

  • Une fabuleuse plante, dont l’étude a valu un Prix Nobel à une chercheuse, permettrait de renforcer le traitement antibiotique et de diminuer le risque de rechute des personnes atteintes de babésiose ;

  • L’extrait de pépin de pamplemousse dont les propriétés infectieuses ont été prouvées en laboratoire, à prendre de préférence en traitement d’attaque, dès l’apparition des premiers symptômes5  ;
Ce ne sont là que les principaux, mais le dossier « Lyme, l’enquête spéciale » vous en dévoile de très nombreux autres, avec toujours la posologie et les conditions d’emploi à respecter strictement.

Aucun de ces traitements n’est rare, compliqué, ni même coûteux.

On peut les trouver en pharmacie ou même en magasin bio, sans même avoir besoin d’une ordonnance.

La bonne nouvelle est que, pour les personnes qui veulent prendre en main leur santé, ce nouveau dossier de Révolution Santé référence les derniers traitements naturels efficaces contre Lyme, avec toujours la posologie et les conditions d’emploi à respecter strictement.

Et la maladie de Lyme n’est évidemment pas le seul sujet « sensible » qui est abordé dans ce numéro :
 

SOJA: face aux nouvelles accusations, le verdict stupéfiant de la science ! 


Si vous avez banni le soja de votre alimentation par peur de ses effets secondaires, lisez impérativement la grande enquête du Dr Lylian Le Goff, spécialiste de nutrition, également publiée dans le numéro de juillet de Révolution Santé.

Vous allez voir qu’il démonte de toutes pièces les fausses rumeurs qui circulent au sujet de ce formidable aliment santé :
  • Ses isoflavones n’ont aucun effet perturbateur endocrinien (mais une liste presque infinie d’effets bénéfiques : protection contre le cancer du sein, prévention de l’ostéoporose et des troubles cardiovasculaires, protection des troubles liés à la ménopause...) ;

  • Il contient des polyphénols et stéroïdes antioxydants à haute dose qui s’opposent à la formation de radicaux libres qui accélèrent le vieillissement cellulaire ;

  • C’est aussi un des rares aliments « intégraux », qui contient à lui seul l’ensemble des acides aminés essentiels.
Révolution Santé vous révèle exactement quelle quantité de manger sans risque, sous quelle forme le privilégier et selon quelle mode de cuisson profiter de ces remarquables vertus santé.

Et le Dr Le Goff vous révèle bien sur les seuls cas avérés dans lesquels il vaut mieux s’abstenir de consommer du soja.

À lire aussi dans ce numéro de juillet de Révolution Santé :
  • Antidouleurs : le fait de synchroniser vos ondes cérébrales (il existe une technique simplissime pour y arriver) permet de diminuer rapidement et efficacement la douleur d’un proche ;

  • Et aussi… une astuce délicieuse pour réduire vos chances de mourir de 20%.
Ce numéro exceptionnel de Révolution Santé partira à l’imprimerie le 27 juin.

Pour être sûr de bien le recevoir par la Poste, inscrivez-vous dès aujourd’hui et profitez de conditions absolument exceptionnelles, avec un abonnement ramené à 50 % du prix, et en cadeau, le nouveau best seller de la santé naturelle…gratuit !

Et ce n’est pas tout :
 

Accédez à la REVOLUTION SANTE en cours !!!


Avec Révolution Santé, vous êtes tenu au courant mois après mois des dernières informations les plus importantes pour votre santé. Vous restez en permanence à la pointe, et vous ne risquez pas de passer à côté d’un remède qui pourrait changer la donne.
  • Vous y trouvez aussi bien les dernières découvertes sur les nouveaux superaliments (algue klamath pour la concentration, nopal contre le diabète, graines d’ucurum qui sont de puissants antioxydants)…

  • …que les bienfaits les plus méconnus des grands classiques de la santé naturelle (huile d’onagre, huile d’olive, ail, curcuma, oignon, vinaigre, patate douce, anchois, noix de Grenoble, etc.).

  • Vous y découvrez avant tout le monde les révélations des chercheurs d’aujourd’hui sur la dihydroquercétine, extraite du mélèze de Sibérie, qui pourrait aider à devenir centenaire

  • …mais aussi ce qu’Hildegarde de Bingen, religieuse et herboriste du XIIème siècle, préconisait pour se débarrasser de nos « illusions », ces pensées négatives qui gonflent dans notre esprit et qui peuvent conduire à la dépression et à l’angoisse chronique6. Sa technique pour les faire disparaître est proprement stupéfiante.

  • Vous y apprenez à lire une analyse de sang : que signifie une concentration en glucose supérieure à 1,40 g/l) ? Une augmentation du taux de plaquettes ? A quel niveau une baisse du taux de plaquettes traduit un risque hémorragique ? Comment savoir si vous manquez de zinc, de fer (ou si au contraire vous en avez trop), de magnésium, de vitamine D, quel est le taux optimum de testostérone, etc. ?   
Vous y découvrez de très nombreux remèdes naturels dont vous pouvez tester l’efficacité sur vous :
  • le jus de grenade contre l’hypertension7 (250 ml par jour),

  • l’huile essentielle de gaulthérie couchée efficace contre la sciatique,

  • la choline (nutriment qu’on trouve dans les œufs, le foie animal, le germe de blé) qui joue un rôle essentiel pour la mémoire,

  • attention aux féculents qui provoquent des variations de sucre sanguin dans le cerveau provoquant de l’inflammation et facilitant ainsi l’apparition de symptômes dépressifs8,

  • le cohosh noir (40 g / jour pendant trois mois) plus efficace qu’un médicament (Livial) en cas de fibrome utérin, etc.
Avec Révolution Santé, vous allez vous situer en avance sur tout le monde à un nouveau carrefour.

Celui d’où partiront les routes thérapeutiques les plus prometteuses de demain.

Maintenant pour vous aider à franchir le pas, pour vous permettre d’en finir une bonne fois pour toutes avec l’arthrose, et de vivre encore de longues années en bonne santé, j’ai décidé de frapper un très grand coup, et de vous proposer la meilleure offre qu’il soit possible de faire.

L'abonnement au tarif normal est de 39 euros par an (12 numéros) pour la version électronique. Mais vous bénéficiez aujourd'hui de notre tarif spécial à 19 euros (plus de 50 % de réduction !!!).

Et pour ce prix, en plus de votre inscription à Révolution Santé, vous allez recevoir le dossier exceptionnel « Alzheimer pulvérisé » sur les dernières découvertes d’un médecin américain qui a réussi à inverser la maladie d’Alzheimer (!!!!) , ainsi qu’un cadeau bonus absolument que je vous réserve spécialement (voir plus bas).
 

La nouvelle la plus STUPEFIANTE jamais publiée sur ALZHEIMER


Le numéro spécial « Alzheimer pulvérisé », que vous allez recevoir en cadeau, est là lui tout seul un monument de l’information sur la santé naturelle.

Du genre qui peut tout changer pour les malades.

Car la médecine officielle sur Alzheimer, c’est 115 ans de recherche et d’investissement SANS le moindre résultat positif pour les malades.

Et pourtant…
 

Alzheimer : « l’erreur » qui a condamné des milliers de malades


Depuis les années 1980, on considère que la maladie d’Alzheimer est causée par l’accumulation dans le cerveau, de plaques d’une substance gluante constituée de protéine bêta-amyloïde qui détruisent les synapses (zones de contact entre les neurones, qui permettent leur communication).

Ainsi, on a logiquement pensé qu’en détruisant les plaques amyloïdes, on pourrait traiter la maladie d’Alzheimer.

Sauf que…toutes les substances actives conçues sur la base de cette « hypothèse amyloïde », n’ont absolument rien donné.

Une autre thèse de la médecine conventionnelle est que la maladie d’Alzheimer serait une seule et unique maladie.

C’est à partir de cette hypothèse qu’on a produit le donépézil, par exemple.

Il s’agit d’un inhibiteur de la cholinestérase - pardon pour le terme technique.

Cela veut dire que ce médicament empêche un enzyme, la cholinestérase, de détruire un neurotransmetteur, l’acétylcholine.

Or la maladie d’Alzheimer implique un déficit d’acétylcholine ; si on bloque sa dégradation, il restera davantage de ce neurotransmetteur dans les synapses.

Certes. Mais cela n’a aucune incidence sur la cause ni la progression d’Alzheimer.

D’autre part, et c’est le point de départ des travaux révolutionnaires du Dr Bredesen et de ses collègues, il n’existe pas une, mais plusieurs formes de maladies d’Alzheimer (inflammatoire, atrophique, toxique), et chacune nécessite un traitement individuel.

Dans leur nouveau protocole, les chercheurs comparent le cerveau à un toit, qui est percé de 36 trous différents en cas de maladie d’Alzheimer.

On comprend mieux alors comment aucun médicament unique ne peut prétendre boucher les 36 trous à lui tout seul.

Pour assurer « l’étanchéité du toit », il faut mettre en œuvre une thérapie multi directionnelle, qui comporte :
  • des restrictions alimentaires (jeûne pour favoriser la cétose, réduction de l’apport en méthionine pour faire baisser le taux d’homocystéine, suppression du gluten, des substances toxiques, etc.)

  • une supplémentation extrêmement précise (20 mg de vitamine B6 par jour, 2500 UI de vitamine D3 par jour, 200 mg de CoQ 10 par jour, 100 mg de resvératrol…),

  • une activité physique régulière,

  • un travail sur le sommeil (en particulier sur l’importance de savoir si vous faites de l’apnée du sommeil,

  • un soin méticuleux porté aux intestins et au microbiote, y compris le microbiote nasal (nettoyage avec un tampon imbibé de kimchi)

  • un ré-équilibrage hormonal (thyroïde, progestérone, testostérone),

  • etc.
Il s’agit là d’un trésor de santé absolument inestimable…

Et c’est pour cette raison que j’estime qu’il doit être accessible à tout le monde, sans aucune discrimination quelconque, et certainement pas financière.

Les perspectives ouvertes par les dernières recherches sur les traitements naturels anti-Alzheimer sont tout simplement COLOSSALES.

Et les améliorations dans votre vie de tous les jours peuvent être sensationnelles !

Ainsi, une femme de 65 ans qui a suivi ce traitement est passée d’un état où elle se perdait régulièrement sur l’autoroute lorsqu’elle conduisait, où elle était incapable de faire sans se tromper des trajets familiers, où elle ne parvenait plus à se souvenir de ce qu’elle lisait, à une vie où « elle avait repris un travail à plein temps, ne se perdait plus en route, et parvenait à se souvenir sans difficulté des numéros de téléphone ».



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

9. Principaux déportés connus...

Jean Améry , écrivain autrichien, survivant d’Auschwitz, de  Buchenwald  et Elie Wiesel en 2010 . de  Bergen-Belsen . Karel Ančerl...