Difficile, en voyant son sourire radieux, d’imaginer l’enfer que Laura Arnal a traversé.
Pourtant, elle a échappé de très peu à la mort. Elle avait 35 ans, 3 enfants en bas-âge, une excellente santé et une vie heureuse et équilibrée, quand elle a été victime d’un « enlèvement ». Et c’est l’identité de ses ravisseurs qui fait froid dans le dos : Ses médecins… …qui lui ont « kidnappé » 8 ans de sa vie !!! Et le pire, vous allez voir, c’est que cela peut recommencer demain matin. Avec n’importe qui. Le cauchemar commence…Pour Laura, tout déraille après des vacances aux Etats-Unis. De retour chez elle, la jeune femme se sent brusquement très fatiguée. Elle a de la fièvre, des maux de gorge, des courbatures… Un « petit passage à vide » ? Non. Les symptômes s’aggravent. Pire, il y a bientôt de nouveaux symptômes, plus inquiétants : des crampes, de vives douleurs aux dents, aux oreilles, de la tachycardie (le cœur qui bat très vite), des démangeaisons… Laura a du mal à respirer, des montées de lait inexpliquées, de violentes douleurs dans les mollets…enfin elle se décide à voir un médecin. Et là, le cauchemar commence… 69 médecins : Zéro diagnostic fiable…Laura consulte un premier médecin, puis deux, trois, cinq… sans qu’aucun ne comprenne la cause de ses symptômes. Un coup on lui dit qu’elle est « dépressive », un autre qu’elle est « hypocondriaque », une autre fois qu’elle a la mononucléose ou une fibromyalgie. « Dans le doute », on lui donne des antidépresseurs et un médecin prescrit même une cure de repos au sein d’un établissement thermal. Mais son état de santé se dégrade de jour en jour. En tout, elle consultera 69 médecins. Soixante-neuf, vous avez bien lu. Et PAS UN qui lui posera la seule question qui aurait pu tout changer… « Un grand professeur m’a conseillé d’arrêter mon cinéma ! »Vous trouvez peut-être qu’il est excessif de comparer la longue errance médicale de Laura à un « kidnapping » ? Alors lisez plutôt son témoignage :
« Arrêter son cinéma »?!Pour du cinéma, voici à quoi ressemble la vie quotidienne de Laura : Après une lourde opération du cœur et plus d’une vingtaine d’injections de cortisone, elle est en chaise roulante, terrassée par une douleur au mollet qui est remontée jusqu’au bas du dos. Elle se met aussi à avoir des trous de mémoire inexpliqués. Après son corps, voilà que sa tête la « lâche » à son tour : Alors pour se sauver, Laura tente le tout pour le tout. Libérée de son calvaire par…une baguette ! |
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Sur les conseils d’un proche, elle part, en chaise roulante, consulter un médecin allemand qui emploie une méthode « non conventionnelle » : la biorésonance magnétique. Cette thérapie enregistre les ondes électromagnétiques émises par le corps au moyen d’un appareil muni d’une baguette électromagnétique. Elle est utilisée pour faire un bilan global de l’activité électrique de l’organisme, et repérer d’éventuelles anomalies électromagnétiques au sein des organes. Au cours de la séance, le thérapeute tient dans une main de petites fioles contenant des bactéries et dans l’autre, sa baguette biomagnétique … Et soudain, la baguette vibre devant une fiole : celle qui contient Borrelia burgdorferi, la bactérie responsable… de la maladie de Lyme !! Enfin la cause est identifiée ! C’est un immense soulagement pour Laura. Mais c’est loin d’être la fin. La jeune femme commence par suivre une cure d’antibiotiques. Seulement les médicaments ne fonctionnent pas et rendent ses douleurs encore plus insoutenables, tandis que le test Elisa qu’elle effectue, le seul autorisé par la Haute Autorité de Santé pour détecter officiellement la maladie de Lyme, s’avère négatif… De nouveau confrontée à un mur, Laura Arnal entame alors ses propres recherches : Persuadée qu’elle est proche de la fin, elle parvient à obtenir un rendez-vous auprès d'un spécialiste de la maladie Lyme aux Etats-Unis. Après un diagnostic symptomatique, et non basé sur les tests sanguins qui se sont tous avérés négatifs, c’est lui, le 70ème médecin, qui va lui confirmer qu'elle est bien atteinte de la maladie de Lyme. Je vous révèlerai dans un instant le protocole thérapeutique qui a lui permis de guérir, et de retrouver une vie normale « à 95 % ». Mais avant cela, il faut bien comprendre une chose. « La maladie de merde qui n’existe pas »Si Laura Arnal a réussi à se soigner in extremis, c’est parce qu’elle a refusé l’impasse du système de santé officiel, qui continue encore bien souvent de nier l’existence de la maladie de Lyme. Mais combien d’autres patients se retrouvent privés de diagnostic, de soins, parce que leur médecin ne « croient » pas à la maladie. Récemment encore, au CHU de Dijon, un autre « grand professeur » a mis une patiente à la porte de son cabinet en lui expliquant que Lyme était une « maladie de merde qui n’existe pas »1 … En 2019, en France, on en est là… On connaît pourtant parfaitement l’origine de Lyme : les bactéries du genre Borrelia burgdorferi, qui appartiennent à la famille des spirochètes, tout comme la bactérie de…la syphilis, et qui sont transmises par les piqûres d’insecte, en particulier les tiques. Lorsqu’elle est transmise par piqure, il faut souvent se fier pour la constater à « l’érythème migrant », la rougeur qui grandit progressivement autour de l’endroit de la morsure. Or, premier problème, dans plus d’un cas sur deux, cette rougeur n’apparaît pas. Pourtant les bactéries sont bien là, et elles s’infiltrent dans tous vos organes, tous les tissus de votre corps, y compris les os. Elles attaquent ainsi tous les systèmes, dont le système nerveux, le cerveau, entraînant des lésions potentiellement graves et surtout très variées, avec à la clé paralysies, fatigues chroniques accablantes, douleurs articulaires, troubles cardiovasculaires, troubles psychiatriques, … Deuxième problème : lorsque l’infection devient chronique, la maladie de Lyme peut être confondue avec quasiment toutes les maladies. C’est ce qui explique pourquoi la borréliose est parfois surnommée « la grande imitatrice », et pourquoi on pense que dizaines de milliers de personnes seraient mal diagnostiquées par la méthode classique, le test Elisa, celui qu’on demande en première intention en France. Une liste de médecins « à abattre »C’est notamment l’avis du Dr Christian Perronne, infectiologue à l’hôpital de Garches, qui a signé la préface du livre de Laura Arnal : Confronté à ses propres limites, la médecine officielle se braque. Et ce sont les malades qui paient les pots cassés. Quand le test ELISA est négatif – alors qu’on estime que les faux négatifs représentent plus de 60 % des tests - les médecins ont interdiction de poursuivre leurs investigations avec le test Western Blot, beaucoup plus fiable ! S’ils le font quand même, pour essayer d’aider leur patient, c’est la sanction immédiate :
Aux États-Unis, en revanche, non seulement le médecin est libre de prescrire le Western-Blot malgré un Elisa négatif, mais il a même le devoir de dire à son patient qu’un test négatif n’est pas la preuve qu’il n’est pas touché par Lyme ! Et alors que les tiques infestées par la borrelia prolifèrent aujourd’hui en France, on se demande QUAND les autorités vont adapter les protocoles officiels. En 2019, les patients ont le droit de savoir qu’il est POSSIBLE d’être correctement protégé, diagnostiqué…et soigné !Pour éviter le terrible engrenage qu’a subi Laura Arnal - et avec elle des centaines d’autres malades qui se sont heurté à un mur de mépris - nous publions un dossier exceptionnel consacré à la maladie de Lyme dans le numéro de juillet de Révolution Santé :
« LYME: L’ENQUETE SPECIALE »
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Ce dossier a été réalisé par le Dr Thierry Medynski, membre fondateur de la « Fédération Française contre les maladies vectorielles à tiques » et du groupe de travail sur la borreliose de Lyme à la Haute Autorité de la Santé. Ce médecin a, il faut le dire, un parcours hors du commun : familier de la haute montagne, il a survécu 7 jours sans eau ni nourriture sur les hauteurs du cirque de Gavarnie, où il s’est retrouvée coincé par le blizzard et le mauvais temps. A l’époque, même le commandant des secouristes reconnaissait que c’était « la première fois qu’il voyait un mental aussi exceptionnel, en vingt ans de service ! »2. Mais son combat le plus impressionnant est celui qu’il a mené… contre la maladie de Lyme. Car le docteur Medynski n’est pas seulement un expert de haut vol, qui a soigné des centaines de patients atteints de Lyme. Il a lui-même été atteint d’une forme chronique de la maladie. Il a vécu lui aussi des mois de torpeur, d’intense fatigue, de troubles du langage et de la concentration, jusqu’à ne plus pouvoir conduire. Il a connu l’errance médicale avant de trouver ENFIN un traitement efficace contre la maladie et d’expérimenter pour lui-même le pouvoir fascinant de la pharmacie naturelle anti Lyme. C’est dire si son témoignage et son expertise ont quelque chose de rare, qu’il détaille dans ce numéro exceptionnel de Révolution Santé. Au cœur de sa stratégie anti Lyme, on trouve d’abord un protocole de dépistage minutieux : à quels tests se fier et comment les interpréter, quels sont les nombreux symptômes qui doivent vous alerter (de simples troubles de l’humeur à la paralysie faciale et à l’insuffisance cardiaque). Mais ce n’est pas tout. Le Docteur Medynski y dévoile aussi toutes les VRAIES mesures de protection contre les tiques :
Neutraliser Lyme en 7 jours ?!Dans le dossier « Lyme, l’enquête spéciale », vous allez découvrir les nouveaux traitements qui ont prouvé leur efficacité et dont on ne parle jamais :
Aucun de ces traitements n’est rare, compliqué, ni même coûteux. On peut les trouver en pharmacie ou même en magasin bio, sans même avoir besoin d’une ordonnance. La bonne nouvelle est que, pour les personnes qui veulent prendre en main leur santé, ce nouveau dossier de Révolution Santé référence les derniers traitements naturels efficaces contre Lyme, avec toujours la posologie et les conditions d’emploi à respecter strictement. Et la maladie de Lyme n’est évidemment pas le seul sujet « sensible » qui est abordé dans ce numéro : SOJA: face aux nouvelles accusations, le verdict stupéfiant de la science !Si vous avez banni le soja de votre alimentation par peur de ses effets secondaires, lisez impérativement la grande enquête du Dr Lylian Le Goff, spécialiste de nutrition, également publiée dans le numéro de juillet de Révolution Santé. Vous allez voir qu’il démonte de toutes pièces les fausses rumeurs qui circulent au sujet de ce formidable aliment santé :
Et le Dr Le Goff vous révèle bien sur les seuls cas avérés dans lesquels il vaut mieux s’abstenir de consommer du soja. À lire aussi dans ce numéro de juillet de Révolution Santé :
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Celui d’où partiront les routes thérapeutiques les plus prometteuses de demain. Maintenant pour vous aider à franchir le pas, pour vous permettre d’en finir une bonne fois pour toutes avec l’arthrose, et de vivre encore de longues années en bonne santé, j’ai décidé de frapper un très grand coup, et de vous proposer la meilleure offre qu’il soit possible de faire. L'abonnement au tarif normal est de 39 euros par an (12 numéros) pour la version électronique. Mais vous bénéficiez aujourd'hui de notre tarif spécial à 19 euros (plus de 50 % de réduction !!!). Et pour ce prix, en plus de votre inscription à Révolution Santé, vous allez recevoir le dossier exceptionnel « Alzheimer pulvérisé » sur les dernières découvertes d’un médecin américain qui a réussi à inverser la maladie d’Alzheimer (!!!!) , ainsi qu’un cadeau bonus absolument que je vous réserve spécialement (voir plus bas). La nouvelle la plus STUPEFIANTE jamais publiée sur ALZHEIMERLe numéro spécial « Alzheimer pulvérisé », que vous allez recevoir en cadeau, est là lui tout seul un monument de l’information sur la santé naturelle. Du genre qui peut tout changer pour les malades. Car la médecine officielle sur Alzheimer, c’est 115 ans de recherche et d’investissement SANS le moindre résultat positif pour les malades. Et pourtant… Alzheimer : « l’erreur » qui a condamné des milliers de maladesDepuis les années 1980, on considère que la maladie d’Alzheimer est causée par l’accumulation dans le cerveau, de plaques d’une substance gluante constituée de protéine bêta-amyloïde qui détruisent les synapses (zones de contact entre les neurones, qui permettent leur communication). Ainsi, on a logiquement pensé qu’en détruisant les plaques amyloïdes, on pourrait traiter la maladie d’Alzheimer. Sauf que…toutes les substances actives conçues sur la base de cette « hypothèse amyloïde », n’ont absolument rien donné. Une autre thèse de la médecine conventionnelle est que la maladie d’Alzheimer serait une seule et unique maladie. C’est à partir de cette hypothèse qu’on a produit le donépézil, par exemple. Il s’agit d’un inhibiteur de la cholinestérase - pardon pour le terme technique. Cela veut dire que ce médicament empêche un enzyme, la cholinestérase, de détruire un neurotransmetteur, l’acétylcholine. Or la maladie d’Alzheimer implique un déficit d’acétylcholine ; si on bloque sa dégradation, il restera davantage de ce neurotransmetteur dans les synapses. Certes. Mais cela n’a aucune incidence sur la cause ni la progression d’Alzheimer. D’autre part, et c’est le point de départ des travaux révolutionnaires du Dr Bredesen et de ses collègues, il n’existe pas une, mais plusieurs formes de maladies d’Alzheimer (inflammatoire, atrophique, toxique), et chacune nécessite un traitement individuel. Dans leur nouveau protocole, les chercheurs comparent le cerveau à un toit, qui est percé de 36 trous différents en cas de maladie d’Alzheimer. On comprend mieux alors comment aucun médicament unique ne peut prétendre boucher les 36 trous à lui tout seul. Pour assurer « l’étanchéité du toit », il faut mettre en œuvre une thérapie multi directionnelle, qui comporte :
Et c’est pour cette raison que j’estime qu’il doit être accessible à tout le monde, sans aucune discrimination quelconque, et certainement pas financière. Les perspectives ouvertes par les dernières recherches sur les traitements naturels anti-Alzheimer sont tout simplement COLOSSALES. Et les améliorations dans votre vie de tous les jours peuvent être sensationnelles ! Ainsi, une femme de 65 ans qui a suivi ce traitement est passée d’un état où elle se perdait régulièrement sur l’autoroute lorsqu’elle conduisait, où elle était incapable de faire sans se tromper des trajets familiers, où elle ne parvenait plus à se souvenir de ce qu’elle lisait, à une vie où « elle avait repris un travail à plein temps, ne se perdait plus en route, et parvenait à se souvenir sans difficulté des numéros de téléphone ». |
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