vendredi 31 juillet 2020

Minceur : la recette du gâteau au chocolat coupe-faim magique..

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Envie de perdre du poids sans se priver ? Avis aux amateurs de chocolat qui pourront savourer ce gâteau coupe-faim avec seulement cinq ingrédients sans culpabiliser !

Faire attention à sa ligne tout en savourant un bon gâteau au chocolat, c'est possible, mais à condition d'avoir la bonne recette !
Ingrédients :
  • 180 grammes de chocolat noir à 85% (minimum)
  • 180 de compote de pommes sans sucre
  • 2 cuillères à soupe de fécule de pomme de terre ou Maïzena
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 6 blancs d'oeufs

PRÉPARATION DU GÂTEAU AU CHOCOLAT COUPE-FAIM

Faire fondre le chocolat avec deux cuillères à soupe d'eau.
Dans un saladier, verser le chocolat fondu et ajouter la compote.
Bien mélanger et ajouter la fécule de pomme de terre (ou Maïzena), ainsi que la levure chimique.
Dans un saladier à part, monter les blancs d'oeufs en neige. Les incorporer délicatement au chocolat.
Enfourner à 180 degrés dans un moule graissé.
Cuire 25 à 30 minutes et sortir du four lorsque la pointe du couteau ressort sèche.

TROIS FOIS MOINS DE CALORIES QU'UN GÂTEAU AU CHOCOLAT CLASSIQUE

Sans gras, sans sucre (à part ceux présents dans le chocolat), ce gâteau est riche en protéines grâce à la présence de blancs d'oeufs. Selon le Dr Saldmann, il ne contient que 190 calories, soit en moyenne trois fois moins qu'un gâteau au chocolat classique et procure une sensation de satiété qui dure pas moins de six heures !
Notez également que la compote de pommes permet de remplacer le beurre sans changer le goût du gâteau, pour un résultat moins gras.
L'auteur conseille de manger une part de son gâteau coupe-faim par jour.
Le docteur Frédéric Saldmann est un médecin spécialiste de "l'optimisation du capital santé". Son crédo : rendre chacun responsable de son bien-être. Dans son dernier livre, il propose de "devenir son propre médecin".

D’où vient le mot « canicule » ?

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La chaleur reste très intense sur le pays ce vendredi selon Météo France qui a placé 32 départements en alerte orange canicule et orages. La vague de chaleur sera "remarquablement intense et précoce" avec des températures qui dépasseront la barre des 40 °C la journée et ne redescendront pas en dessous des 25 °C la nuit. Mais pourquoi parle-t-on de canicule ? L’origine des mots est souvent inattendue.

En effet, quel rapport peut-il y avoir entre le chien et la canicule ? A priori aucun. Pourtant, si l’on étudie leur étymologie, ces deux termes ne sont pas si étrangers l’un de l’autre. Canicule, canidé, caniche. Le rapprochement linguistique est finalement assez évident.

Un vrai temps de chien

Canicule vient du latin « canicula », diminutif de « canis » (chien), qui signifie « petite chienne ». Et Canicula c’est justement le nom que des astronomes de l’Antiquité, ont donné à une étoile appartenant à la constellation du « Grand Chien ». Aussi appelée l’étoile Sirius, Canicula est l’astre le plus brillant du ciel après le Soleil. Les Egyptiens qui associaient cette étoile au culte d’Isis lui concédaient des pouvoirs surnaturels, notamment dans la régulation des crues du Nil.
Levée et couchée avec le Soleil, du 24 juillet au 24 août, elle double l’activité de ses feux et donc du climat solsticiale. Elle est considérée comme l’étoile de la chaleur. « Canicule » désigne donc tout naturellement les périodes marquées par une forte hausse des températures. Pour conjurer les effets néfastes de la canicule sur les moissons et apaiser l’ardeur du soleil, les Romains avaient coutume de sacrifier des chiens roux. Roux pour que le raisin prenne cette couleur « solaire » l’année suivante.

Téléphones portables interceptés à destination de terroristes...

Téléphones portables interceptés à destination de terroristes

Une astucieuse tentative d’introduire des téléphones portables dans la prison de Ketziot a été déjouée. , six terroristes ont été conduits à l’hôpital Barzilaï d’Ashkelon pour des tests, escortés par des gardiens de la prison ainsi que des membres de l’unité « Na’hshon ». 
A leur arrivée à l’hôpital, les gardiens ont été contactés par l’officier de sécurité de l’hôpital qui leur a dit qu’un colis suspect avait été trouvé dans les toilettes de l’unité où les terroristes devaient se rendre. Croyant d’abord à un colis piégé, l’officier de sécurité a appelé un artificier de la police. En fait, il s’agissait de pièces détachées destinées à confectionner des téléphones portables qui devaient être ensuite introduites dans le centre pénitentiaire.
La police de la région Lakhish, les services de renseignements et les services pénitentiaires ont ouvert une enquête pour déterminer qui a posé ce colis dans les toilettes de l’hôpital. Les terroristes détenus tentent sans cesse de faire entrer des téléphones portables ou d’autres objets interdits dans l’enceinte des prisons. C’est avec des téléphones portables que les terroristes contactent leurs « collègues » du dehors pour organiser des attentats.
On se souvient de l’ancien député de la Liste arabe unifiée Bassel Ghattas qui avait été condamné et emprisonné pour collaboration avec entreprise terroriste après avoir profité de son immunité parlementaire pour introduire des appareils de téléphone lors d’une visite à des terroristes en prison..

Brochettes de poulet aux épices...

Brochettes de poulet épicé : Recette de Brochettes de poulet épicé ...

C'est l'été ! Et qui dit été, dit barbecue ! Voici une recette de brochettes de poulet mariné qui va faire pétiller vos papilles !

INGRÉDIENTS POUR 4 PERSONNES

600 g de blancs de poulet - 1 poivron rouge - 1 poivron vert - 1 échalote - 2 CS d'huile d'olive - 1 cc de curry - 1 cc de paprika - Sel, poivre.

PRÉPARATION DES BROCHETTES DE POULET AUX ÉPICES

1. Couper le poulet en cubes réguliers. Les mettre dans un grand récipient. Éplucher et hacher l'échalote. L'ajouter à la viande ainsi que les épices, du sel et du poivre. Verser l'huile d'olive. Bien mélanger pour imprégner tous les morceaux de la préparation. Laisser mariner pendant au moins 1 h.
2. Laver et peler les poivrons. Les tailler en gros dés. Sur toute la longueur d'un pic à brochette, placer un morceau de poulet en alternance avec un morceau de poivron.
3. Faire cuire environ 15 min sur la grille du barbecue. Surveiller la cuisson en fonction de la taille des cubes de viande..

Antisémitisme contre la police française : « Sale juifs ! «



Un phénomène croissant place la police francaise comme représentante des «Juifs» qui doivent être attaqués, selon l’extrême droite • Selon eux, Israël forme la police française contre eux…

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Tihla, un musulman de 29 ans ayant des antécédents d’infractions mineures, n’a pas tenté de nuire aux juifs. Selon ses aveux après avoir commis le crime et une lettre qu’il a laissée avant de quitter les lieux, il a décidé de frapper la police apres qu’un policier a écrasé deux policiers dans la banlieue de Comb avec sa voiture et a grièvement blessé l’un d’entre eux.

La police française et les militants antisémites ont déclaré que l’attaque était le dernier exemple d’une tendance croissante en France, dans laquelle les antisémites considèrent la police et les services de sécurité comme une branche de la «force juive» – une idée souvent évoquée dans les théories du complot derrière ces attaques.

Les allégations de conduite brutale de la police, inspirées par les manifestations aux États-Unis après la mort de George Floyd, n’ont fait que « alimenter l’incendie », a déclaré Sami Gozlan, ancien chef de la police parisienne et fondateur du Bureau national antisémite, BNVCA.
«L’équation antisémite entre la police et les juifs est un nouveau développement issu des théories du complot, et elle incite déjà à la violence et à l’effusion de sang», dit Gozlan. « C’est dangereux non seulement pour les Juifs, mais aussi pour l’Etat de droit en France. »
Le 13 juin, dans le centre de Paris, lors d’une manifestation contre ce qui était perçu comme du racisme par la police en France, un certain nombre de manifestants ont crié « sales juifs  » aux manifestants de l’autre côté de la barricade, brandissant une banderole intitulée « Justice pour les victimes de crimes contre les Blancs ». Les manifestants de l’autre côté n’étaient pas seulement des juifs, mais appartenaient au mouvement d’extrême droite Génération Identitaire accusé d’antisémitisme.

Lors du même rassemblement, des affiches ont également été hissées affirmant qu’Israël apprenait à la police française comment réprimer les minorités. Gozlan dit que le phénomène consistant à comparer les Juifs aux forces de sécurité et à nuire aux deux a été observé pour la première fois « à grande échelle » lors d’une attaque à Toulouse en 2012 au cours de laquelle un djihadiste nommé Mohamed Merah a abattu trois soldats près de Toulouse après avoir tué quatre Juifs dans une école deux jours plus tard. Plus tôt, Mérah a également déclaré que son motif était le conflit israélo-palestinien.
Amedi Coulibaly, un autre extrémiste musulman qui a assassiné quatre Juifs dans le supermarché « hyper casher » de la banlieue parisienne le 9 janvier 2015, a tué un policier noir la veille. Il a également déclaré que le motif de ses actions était le désir de « protéger les Palestiniens ».

En 2018 à Saint-Quentin, une ville située à environ 110 km au nord-est de Paris, un homme a torturé et tué Ilan Halimi près de Paris en 2006. L’homme a ensuite été arrêté et condamné à la prison.
Michel T., policier juif et militant du syndicat de la police du sud de la France, affirme également que les agressions conjointes contre des policiers et des juifs sont « particulièrement courantes ». T. dit que bien qu’il n’ait jamais personnellement expérimenté d’antisémite au cours de son travail à la police nationale, il a remarqué que beaucoup de ses collègues non juifs en ont fait l’expérience.
« Le mot » Juif « est maintenant une insulte dans les quartiers d’immigrants, il est donc utilisé comme une malédiction », a déclaré T., faisant référence aux banlieues où il y a une grande population musulmane avec des problèmes de criminalité et d’extrémisme. « Mais cela découle également d’une foule de théories du complot selon lesquelles les Juifs et Israël dirigent le monde et la France, et que la police est leur marionnette.


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Vente aux enchères: Les 2,4 millions euros obtenus par un Banksy iront à un hôpital de Bethléem...



Comme très souvent avec Banksy, plus qu’artistique le message est surtout politique. Un triptyque du street artiste sur la crise migratoire vient d’être vendu 2,2 millions de livres (2,4 millions d’euros) chez Sotheby’s à Londres. La somme sera versée à un hôpital pour enfants de Bethléem, en Judée Samarie.......Détails........


Les estimations largement dépassées


Les trois peintures à l’huile qui composent Vue de la mer Méditerranée, 2017 ont largement dépassé les estimations, entre 800.000 et 1,2 millions de livres. Pour réaliser son œuvre, Banksy a « pris trois vieilles toiles romantiques qui représentaient des paysages marins du XIXe siècle », qu’il a ensuite parsemées de « gilets de sauvetage ou de bouées abandonnées », a expliqué Sotheby’s. 

Avec ce triptyque, l’artiste « juxtapose dans son style inimitable un genre artistique historique avec une question politique contemporaine – la mort tragique de milliers de migrants qui ont tenté de traverser la Méditerranée pour atteindre l’Union européenne ».
Depuis sa création en 2017, l’œuvre était exposée à Bethléem, dans l’hôtel « The Walled Off » ouvert par l’artiste lui-même, où toutes les chambres donnent directement sur le mur érigé par Israël en Samarie.


Banksy a annoncé qu’il reverserait l’intégralité des bénéfices à l’hôpital BASR de la ville, afin de financer une nouvelle unité de prise en charge des AVC et l’achat d’équipements pour la rééducation d’enfants.


L’artiste contemporain aborde régulièrement la question de la crise migratoire. En 2015, il avait peint un portrait de Steve Jobs, cofondateur d’Apple et fils d’un migrant syrien, sur le mur d’un camp de réfugiés à Calais. 
Il avait aussi réalisé en 2019, à la Biennale de Venise, le pochoir d’un enfant en gilet de sauvetage, tenant une fusée de détresse rose.


https://koide9enisrael.blogspot.com/2020/07/vente-aux-encheres-les-24-millions.html?spref=fb&fbclid=IwAR1s4gWJNvqjC8mg2ciyyNwHlp-HnJ_GOaxleQavfIOmGdeZC4XmrwmGjhQ

OSLO : LES METASTASES. Edito de Jacques Kupfer...



Albert Einstein déclarait faire peu de cas de l’intelligence de celui qui, répétant la même expérience dans les mêmes conditions et avec les mêmes ingrédients, espérait obtenir des résultats différents.
Oslo
Nous constatons que tout retrait de la Terre d’Israël, tout abandon de notre patrimoine ancestral se solde par un échec. Les dramatiques accords d’Oslo ont eu pour résultat l’assassinat de plus de 2000 juifs, une vague de terrorisme, l’arrivée de quelque 40 000 terroristes de Tunisie et du Liban, des armes confiées à ces assassins qui se sont retournés contre les nôtres, le tapis rouge pour les héritiers du mufti nazi de Jérusalem. Le fait d’avoir accepté le retrait de Jéricho, de Sch’em, de Hébron, a persuadé l’ennemi arabe que si nous quittions ces lieux sacrés imbibés de notre histoire biblique, cela signifiait soit que nous ne sommes pas les propriétaires légitimes revenus sur leur Terre, soit que nous serions d’autant plus prêts à accepter sous la contrainte de nous retirer de Natania ou de Tel-Aviv ! Les accords d’Oslo étaient le résultat d’un esprit munichois et fut interprété par les ennemis comme l’acte d’un peuple incapable de se battre pour son Droit, et prêt à tout abandonner pour une paix hypothétique.
Gaza
Notre retrait de la bande de Gaza, la honteuse expulsion de nos pionniers du Goush Katif, la contemplation de nos familles déplacées par notre propre armée, la destruction de villages juifs, le retour de nos cercueils et le saccage de nos synagogues avaient été applaudis par cette même gauche signataire d’Oslo. On nous avait alors assuré que si de ce Hamastan un seul coup de feu était tiré, « on verrait ce qu’on verrait ». Nous avons vu : 500 requêtes en une seule nuit, les enfants des kibboutzim gauchistes autour de la bande de Gaza traumatisés par des tirs incessants, les dépouilles de deux de nos soldats retenus par les assassins et l’impérieuse nécessité d’une prochaine opération militaire sur cette bande de terre. Ce retrait que des esprits obnubilés par un pacifisme bêlant considéraient comme l’aube d’une ère nouvelle, n’a amené que guerres et désolation. Notre retrait a été interprété à juste titre comme un acte de faiblesse et un manque de foi dans notre Droit, notre puissance et notre pouvoir.
Liban
Le lamentable retrait de nos forces de ce que l’on appelle le sud Liban (et que j’appelle le nord d’Israël jusqu’au Litani), l’abandon de nos frères d’armes de l’armée du Liban sud, la retraite précipitée en une nuit, ont eu pour résultat l’établissement des terroristes du Hezbollah aux portes d’Israël, le renforcement de leur arsenal de missiles atteignant des centaines de milliers de fusées et les tentatives iraniennes pour y prendre pied. Ce fut encore une retraite interprétée par l’ennemi non comme une volonté de paix mais simplement de faiblesse politique aliénant la capacité militaire de Tsahal.
Une paix munichoise
L’abandon de nos Droits les plus sacrés, l’impossibilité de prier ou de brandir le drapeau d’Israël sur le Mont du Temple, l’impossibilité de pouvoir librement se rendre sur le tombeau de Joseph ou de Josué, l’impossibilité d’aller régulièrement dans la salle d’Isaac au Tombeau des Patriarches, l’abandon entre les mains des ennemis de plus de 6000 sites archéologiques antiques de nos ancêtres en Judée Samarie, sont des signes de faiblesse. Ils permettent aux terroristes d’espérer nous expulser d’Israël, nous contraindre à accorder plus de poids aux arabes antisémites élus à la Knesset, imposer davantage de discrimination « positive » dans nos universités et nos administrations !
La paix éventuelle ne pourra être assurée que lorsqu’un Israël puissant imposera la justesse de son Droit. Le fait que le 1er Ministre d’Israël n’ait pas agi au cours de ses mandats, et ignoré la date du 1er juillet pour l’établissement de la souveraineté juive sur la Terre d’Israël est un retrait, un encouragement au terrorisme arabe et un bégaiement de l’Histoire. La souveraineté juive sur les terres déjà libérées de la mer au Jourdain ne peut attendre. Elle doit être réalisée de manière immédiate non seulement pour toutes ces raisons stratégiques évidentes mais parce qu’elle souligne la continuité juive sur une Terre qui ne peut appartenir et qui n’appartient qu’au seul et unique peuple juif.
Oslo et Stockholm
Nous souffrons des métastases du cancer d’Oslo. Il n’est que temps de l’annuler, le rendre «caduque». Ce n’est pas une question de cosmétique mais l’impérieuse nécessité d’une opération chirurgicale. Ce sont ces métastases d’Oslo, le syndrome de Stockholm, et les directives de la Cour Suprême qui permettent à des infiltrés du Liban de rester vivants, à des lanceurs de ballons incendiaires de bénéficier de leur âge et ne pas être éliminés, à des nervis arabes jetant des pierres sur les voitures juives de ne pas être abattus par nos pionniers interdits d’usage de leurs armes,…
En cette veille du 9 Av, nous pleurons la destruction du Temple et la faute terrible de ces explorateurs qui au nom de la démocratie, désiraient vérifier la Terre que l’Eternel nous avait léguée. Les leçons de l’Histoire et leur morale sont évidentes. La nécessité de l’Heure, la pérennité de l’Idéal sioniste et notre Droit exigent le rétablissement de la Souveraineté juive et du seul drapeau d’Israël sur toute la Judée Samarie.

Retrouvailles 50 ans après la guerre de Kippour...

Retrouvailles 50 ans après la guerre de Kippour

Alors que j’étais assise à la terrasse d’un café, j’ai surpris une conversation à la table voisine, et piquée par la curiosité, je me suis approchée. Yaakov et Shlomo semblaient tout émus de se retrouver, peut-être après un ou deux ans…en fait cela faisait exactement 50 ans qu’ils s’étaient perdus de vue…
SG Bonjour je peux m’assoir ? Je suis curieuse de connaitre votre histoire.
Avec plaisir, mon nom est Yaavov Amar, j’habite à Jérusalem, dans le quartier de Katamon, rue Tel Haï. Et lui c’est mon ami d’enfance…
Et vous, comment vous appelez-vous ?
Shlomo Ellon, j’habite à Kiryat Shmuel, à coté de Haïfa. J’ai changé de nom, je m’appelais Ylovitski
Ah oui je comprends [rires]
Mes enfants m’ont obligé à changer de nom car c’était trop dur à prononcer.
Vous aussi Yaacov, vous avez changé de nom ?
A l’époque, Ben Gourion avait obligé tous les officiers de l’armée et les fonctionnaires à hébraïser leur nom, et tous mes frères qui étaient soit officiers soit fonctionnaires sont passés de Amar à Amir, mais moi qui était le benjamin de la famille, j’ai refusé de changer, même en tant qu’officier de police.
Vous vous connaissez depuis les années 60, et vous vous retrouvez seulement maintenant ? Quel a été l’élément déclencheur ?S. Je l’ai cherché en vain il y a quatre ans pour participer aux 50 ans de la Yéchiva Marom Tsion de Baït Vagan. Il y a une semaine, on a voulu réunir tous les élèves de ma promotion et relancé mes recherches, on m’a dit qu’il avait changé de nom et je l’ai trouvé dans Facebook. Je lui ai envoyé un message privé et il se trouve qu’il habite à côté de chez moi, nous nous sommes immédiatement rencontrés. On peut dire qu’il n’y a pas de hasard !
Je vous ai entendu parler de souvenirs de guerres…   A laquelle avez-vous participé ?
Yom Kippour et celle du Liban, mais le plus dur c’était celle de Yom Kippour. C’était très spécial et très marquant…et même traumatisant.

Les chasseurs Su-57 de la Russie peuvent-ils couler des navires de guerre américains ...



La Russie conçoit un missile anti-navire pour son chasseur furtif Su-57, mais la chasse aux navires est-elle la meilleure mission pour un avion aussi avancé ?

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Le vice-ministre de la Défense, Alexey Krivoruchko, a fait cette annonce lors de sa visite au bureau d’étude des détails l’année dernière, qui développe un nouveau missile anti-navire, selon l’agence de presse russe TASS.
« Aujourd’hui, la société travaille au développement d’une ogive active pour le missile anti-navire prometteur qui devrait également être porté par le chasseur Su-57 », a déclaré Krivoruchko.

Une réunion d’affaires a eu lieu dans les locaux du Bureau de conception détaillée pour discuter de la question de la signature d’un contrat avec la Tactical Missile Corporation pour l’acquisition de la gamme complète d’armes à lancement aérien pour les chasseurs Su. -57 », dit TASS.
Le Su-57 est l’équivalent russe des chasseurs furtifs américains F-22 et F-35. Un avion Mach 2 capable de missions de supériorité aérienne et d’attaque au sol, c’est le premier avion furtif de Russie, et probablement l’avion le plus sophistiqué de l’arsenal russe. Il a également une histoire longue et troublée qui remonte à plus d’une décennie, en raison de problèmes techniques et encore plus en raison de considérations financières.

Les estimations vont de 40 à 156 millions de dollars par avion, un chiffre qui avait auparavant amené l’ armée de l’air russe à annuler la production de masse et à n’acheter qu’une poignée d’avions. La Russie a maintenant une douzaine de Su-57, qui ont effectué des missions au-dessus de la Syrie.

Mais le mois dernier, le président russe Vladimir Poutine a annoncé que soixante-seize Su-57 seraient livrés d’ici 2028. Bien que les plans de défense russes exigeaient auparavant l’achat de seulement seize avions, Poutine a déclaré que le ministre de la Défense, Sergueï Shoigu, lui avait dit Il avait dit que le constructeur du Su-57 avait réduit le prix de l’avion de 20%, ce que le gouvernement ne pouvait pas laisser passer. « Nous avons accepté d’acheter 76 de ces combattants sans augmentation de prix au cours de la même période », a déclaré Poutine.
Cependant, qu’il s’agisse de seize ou soixante-seize avions, ce n’est pas une énorme flotte. Les États-Unis ne disposent que de 186 chasseurs F-22, nombre que beaucoup jugent trop petit pour des opérations de combat soutenues. L’armée américaine prévoit également d’acquérir plus de 2400 F-35.
Bien sûr, la Russie peut choisir d’acheter plus de soixante-seize Su-57, en fonction de l’économie tendue du pays et du bon fonctionnement des avions une fois en service régulier. Mais la taille de la commande initiale suggère que l’armée de l’air russe pourrait se retrouver avec seulement soixante-seize avions – en supposant que ce chiffre ne réduira pas les budgets futurs pour la prochaine décennie – et peut-être pas plus de deux cents avions.
Dans ce cas, quelle est la meilleure utilisation d’un chasseur furtif à la pointe de la technologie? La capacité d’un tel avion serait nécessaire contre un adversaire possédant des avions et des défenses aériennes sophistiquées: l’Amérique, l’ OTAN , le Japon, Israël (ou peut-être même la Chine). Pour intercepter des avions furtifs hostiles, la Russie sera tentée d’envoyer ses propres chasseurs furtifs. Une flotte de seulement soixante-seize Su-57, moins les inévitables pertes au combat, les accidents et l’entretien nécessaire, pourrait être taxée par les missions de défense aérienne et d’escorte.

Alors, combien en resterait-il pour le travail anti-navire ? Contre la plupart des cibles navales, des avions plus anciens tels que le chasseur Su-30 et le bombardier Tu-22M3 armés de missiles hypersoniques suffiraient. Il peut y avoir des situations où la furtivité est souhaitée, peut-être contre un groupement tactique de porte-avions américain fortement défendu. Mais utiliser un nombre limité de Su-57 pour attaquer des navires revient à affecter des F-22 à des missions anti-navires, une décision qui étourdirait les commandants de l’US Air Force.


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Université Bar-Ilan (Israël) : il y a plusieurs siècles, une crise de la viticulture à cause de la peste et du changement climatique..



Une équipe d’archéologues israéliens a découvert des preuves nouvelles et fiables d’un ralentissement économique important en marge de l’Empire byzantin à la suite d’une pandémie majeure au milieu du VIème siècle de notre ère. Cette recherche de l’Université Bar-Ilan a montré l’essor et la chute de la viticulture commerciale dans le désert aride du Néguev en Israël.
La pandémie de COVID-19 amène à étudier l’impact dans le passé d’épisodes tels que la grippe espagnole de 1918 ou la peste noire au 14ème siècle. La première vague historique de ce qui fut baptisé plus tard la peste noire (bactérie Yersinia pestis) s’est répandue dans tout l’empire byzantin et au-delà, en 541 de notre ère. Connue sous le nom de peste Justinienne, du nom de l’empereur Justinien qui a contracté la maladie mais y survécut, elle causa une forte mortalité et eut des effets socio-économiques en cascade. Vers la même époque, une énorme éruption volcanique (fin 535 ou début 536 de notre ère) marqua le début de la décennie la plus froide des deux mille dernières années (une autre éruption volcanique de proportions similaires s’est produite en 539 de notre ère).
Mais les chercheurs ne sont pas d’accord sur l’ampleur et les effets dévastateurs de l’épidémie du milieu du 6ème siècle et du changement climatique. Ce débat scientifique n’est pas surprenant. Même de nos jours, les dirigeants et les décideurs du monde entier divergent sur la gravité et la réponse à apporter au COVID-19, sans parler du changement climatique. L’étude des épidémies anciennes n’est pas fiable car les documents anciens ont tendance à exagérer ou à sous-représenter les pertes humaines, alors que les preuves archéologiques des effets sociaux et économiques de la peste sont très difficiles à trouver.
Daniel Fuks, étudiant en doctorat au département d’archéologie en Israël à l’Université de Bar-Ilan, a dirigé l’étude au laboratoire d’archéobotanique du Pr Ehud Weiss, et en tant que membre du Programme de recherche en bio-archéologie dans le Néguev byzantin Crisis on the Margins of the Byzantine Empire (dirigé par le Pr Guy Bar-Oz de l’Université de Haïfa) qui veut montrer quand et pourquoi les terres agricoles du Néguev ont été abandonnées.
L’agriculture dans ce désert aride a été rendue possible grâce au ruissellement des eaux de pluie qui a atteint son apogée à l’époque byzantine, comme sur les sites de Elusa, Shivta et Nessana. Sur les sites du Negev Highland, les ruines de structures en pierre bien conservées témoignent de leur ancienne gloire. L’équipe de Guy Bar-Oz, guidée par des archéologues de l’Autorité des antiquités d’Israël (IAA), le Dr Yotam Tepper et le Dr Tali Erickson-Gini, a découvert des preuves encore plus convaincantes dans un endroit inattendu : la poubelle. «Votre poubelle en dit long sur vous. Dans les anciens monticules de déchets du Néguev, il y a un récit de la vie quotidienne des habitants sous forme de restes de plantes, d’animaux, de tessons de céramique. Nous avons creusé ces monticules pour découvrir des activités humaines dans les ordures, quand elles ont prospéré et quand elles ont décliné», explique Guy Bar-Oz.
Le laboratoire d’archéobotanique* de l’Université Bar-Ilan où la plupart de ces recherches ont été menées est le seul laboratoire en Israël dédié à l’identification des graines et des fruits anciens. Le Pr Ehud Weiss, directeur du laboratoire, explique que l’archéobotanique consiste à étudier le garde-manger ou la poubelle des peuples anciens pour comprendre leurs interactions avec les plantes. L’archéobotanique reconstitue l’ancienne économie, l’environnement et la culture. C’est une discipline très complexe.
Chaque grain a dû être trié, identifié et compté parmi d’innombrables échantillons de sédiments. « Si l’on peut compter les poussières de la terre, alors on peut aussi compter les graines (Genèse 13:16) »
Pr Ehud Weiss
Pr Ehud Weiss
Ehud Weiss raconte : « Près de 10000 graines de raisin, blé et orge ont été récupérées et dénombrées dans 11 monticules de déchets sur trois sites. Identifier les restes de graines et de fruits est une compétence unique de notre laboratoire et elle s’appuie sur la collection nationale de référence israélienne de graines et de fruits de plantes stockée dans notre laboratoire, et sur des années d’expérience de la récupération, du traitement et de l’analyse, des restes de plantes provenant de sites de toutes les époques de l’archéologie israélienne ».
L’une des premières observations des chercheurs a été le nombre élevé de pépins de raisin dans les anciens tertres de déchets. Cela correspondait aux hypothèses précédentes d’universitaires selon lesquelles le Néguev était impliqué dans la viticulture destinée à l’exportation. Les textes byzantins louent le vinum gazetum comme un vin blanc doux exporté du port de Gaza dans toute la Méditerranée et au-delà. Ce vin était généralement transporté dans un type d’amphore connu sous le nom de «Gaza Jars» ou «Gaza Wine Jars», que l’on trouve également sur des sites en Méditerranée. Dans les tertres byzantins du Néguev, ces jarres de Gaza apparaissent en grande quantité.
Daniel Fuks
Daniel Fuks
Daniel Fuks, doctorant à l’Université Bar-Ilan, a cherché à déterminer la fréquence des pépins de raisin dans les ordures. Il décrit : «Imaginez que vous êtes un ancien agriculteur avec un lopin de terre pour nourrir votre famille. Sur presque tout, vous plantez des céréales comme le blé et l’orge, car c’est ainsi que vous obtenez votre pain. Sur une plus petite partie, vous plantez un vignoble et d’autres cultures comme des légumineuses, des légumes et des arbres fruitiers, pour les besoins de votre famille. Mais un jour, vous réalisez que vous pourriez vendre l’excellent vin que vous produisez, pour l’exportation, et gagner suffisamment d’argent pour acheter du pain et un peu plus. Petit à petit, vous agrandissez votre vignoble et vous passez de l’agriculture de subsistance à la viticulture commerciale. En regardant les poubelles et en comptant les graines, on découvre une augmentation de la proportion de pépins de raisin par rapport aux céréales. Et c’est exactement ce que nous avons découvert : une augmentation significative du ratio pépins de raisin/grains de céréales entre le 4ème siècle de notre ère et le milieu du 6ème siècle. Puis soudain, il a décliné ».
Dr Tali Erickson-Gini
Dr Tali Erickson-Gini
Daniel Fuks et le Dr Tali Erickson-Gini, experte en poterie ancienne du Néguev ont vérifié s’il y avait des tendances similaires dans la proportion de jarres de Gaza par rapport aux pots en forme de sac, ces derniers étant beaucoup moins adaptés au transport à dos de chameau des hauts plateaux du Néguev. En effet, la montée et le déclin initial des jarres de Gaza ont suivi la montée et la chute des pépins de raisin.
Les chercheurs ont conclu que le développement commercial de la viticulture dans le Néguev était lié au commerce méditerranéen. Ce qui a permis d’apporter un témoignage archéologique nouveau sur une économie commerciale internationale d’il y a environ 1500 ans.
La viticulture avait amené une prospérité sans précédent, mais aussi une plus grande vulnérabilité aux crises. Au milieu du VIe siècle, quelques chocs de ce type pourraient expliquer le déclin de cette culture. L’un d’eux fut la peste Justinienne, qui provoqué de nombreux morts à Byzance et dans d’autres parties de l’empire. Dans l’article, les auteurs expliquent que «la réduction du marché des produits de Gaza aurait eu un impact négatif sur l’économie du Néguev, même si le commerce à Gaza aurait pu se poursuivre… Si la peste avait atteint le Néguev, elle aurait également pu nuire à la capacité de production locale et à l’offre de produits agricoles en général en induisant une pénurie de main-d’œuvre agricole. »
Un autre choc à cette période fut l’éruption volcanique qui eut un impact planétaire fin 535 et début 536 de notre ère, qui a recouvert de poussière l’hémisphère nord et a provoqué un refroidissement global d’une décennie (une autre éruption de magnitude similaire s’est produite en l’an 539 de notre ère). Cela a conduit à une sécheresse en Europe, des récoltes désastreuses et des famines dans le monde entier, des précipitations accrues, des crues soudaines de haute intensité au sud du Levant, ce qui a nui à l’agriculture locale.
Le travail de Sisyphe qui consista à trier et à compter les graines peut sembler rebutant, mais les découvertes de plantes archéologiques démontrent l’ingéniosité et l’interaction des peuples anciens avec les plantes. Guy Bar-Oz de l’Université de Haïfa, a déclaré : «La découverte de la montée et de la chute de la viticulture commerciale dans le Néguev byzantin confirme d’autres preuves récentes  d’une expansion majeure au 5e au milieu du 6e siècle suivi d’un déclin« . Il semble que la colonie agricole dans les hautes terres du Néguev ait reçu un tel coup qu’elle n’a été relancée qu’à l’époque moderne. De manière significative, le déclin est survenu près d’un siècle avant la conquête islamique du milieu du septième siècle.
Deux catalyseurs probables d’un effondrement au milieu du VIe siècle, changement climatique et peste, ont révélé des vulnérabilités inhérentes aux systèmes politico-économiques d’hier et d’aujourd’hui. « Les Byzantins ne l’ont pas vu venir. Mais nous, nous pouvons nous préparer à la prochaine épidémie ou aux conséquences imminentes du changement climatique. La question est : serons-nous assez sages pour le faire ? » s’interroge Daniel Fuks.
Publication dans PNAS, 27 juillet 2020
L’étude des graines trouvées dans des fouilles archéologiques est connue sous le nom d’archéobotanique (aka paléoethnobotanique)

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