S’il y a une personne dans le paysage public israélien qui représente aujourd’hui l’amour d’Israël, de la tradition juive, du peuple juif et de l’être humain quel qu’il soit, qui force l’admiration par son courage, sa modestie et son esprit positif malgré les terribles épreuves subies et qui lance sans arrêt des appels à l’unité, c’est bien Myriam Peretz.
Et pourtant, dans le climat de haine débridée que vit le pays il s’en trouve pour repousser encore un peu plus les limites de l’impudence et s’en prendre à cette merveilleuse femme. Et pas n’importe qui : Dana Olmert, la fille de l’ancien Premier ministre et repris de justice.
Militante active d’extrême gauche, Dana Olmert s’insurge contre le fait que le nom de Myriam Peretz circule comme éventuelle candidate à la présidence de l’Etat. Et que lui reproche-t-elle ? « Sa fidélité à la logique du nationalisme israélien, qui est de récolter un capital symbolique en contrepartie du sacrifice de la vie, et cela pour former les consciences des parents de la prochaine génération afin qu’ils continuent à envoyer leurs enfants servir dans l’armée d’occupation » !
Attaquer aussi bassement Myriam Peretz comme si cette mère était fière d’avoir perdu deux fils lors de combats contre le terrorisme donne une idée de la dépravation morale de l’extrême gauche israélienne, et les spectacles auxquels nous assistons actuellement sont là pour le prouver.
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