dimanche 31 mai 2020

La télévision libanaise fait l’éloge d’Israël : « Israël est une puissance scientifique, économique, culturelle et militaire » ..


Dans une interview accordée à la chaîne de télévision libanaise LBC TV, le journaliste libanais Nadim Koteich a déclaré: « Israël est une puissance scientifique, économique, culturelle et militaire ».
Il a indiqué que la contribution par habitant de chaque citoyen au PIB était de 3600 $ en Israël alors qu’au Liban elle n’était que de 360 ​​$.

Le journaliste libanais Nadim Koteich a déclaré que ni le Hezbollah ni le président libanais Michel Aoun ne sont la solution pour redonner au Liban son statut respecté au sein de la communauté internationale, selon le Middle East Media Research Institute ( MEMRI ) , qui a publié une version traduite du clip.


Dans cette interview, il a affirmé qu’aucun politicien nommé par Aoun n’a jamais été normal, qualifiant le phénomène d ‘«aounisme», qu’il a également défini comme une maladie
.

Article original sur RakBeIsrael : https://rakbeisrael.buzz/la-television-libanaise-fait-leloge-disrael-israel-est-une-puissance-scientifique-economique-culturelle-et-militaire/

Farhoud, le massacre islamo-nazi oublié…....


Les Juifs originaires d’Irak ont commémoré à Chavouout le 79e anniversaire des terribles massacres qui eurent lieu à Bagdad les 1er et 2 juin 1941, connus sous le nom de « Farhoud » synonyme de « progrom ».
Profitant du laps de temps entre la fuite du Premier ministre pro-allemand Rashid Ali A-Gallini et l’arrivée des troupes britanniques, des foules galvanisées de haine et imbibées de propagande antisémite nazie se livrèrent durant deux jours à des horreurs envers les Juifs qui rentraient de la synagogue ou se promenaient en famille. 
Les scènes racontées par les survivants soulèvent le coeur : hommes, femmes, enfants et vieillards battus à mort ou abattus, femmes violées, membres d’enfants arrachés, personnes écrasées ou jetées depuis les toits des maisons, enfants jetés dans des puits ou le fleuve etc. Le bilan oscille selon les versions entre 200 et 600 tués, des centaines de blessés ainsi qu’un nombre impressionnant de magasins et de maisons détruits et pillés. Ce fut le signal de la fin d’une prestigieuse communauté présente depuis plus de vingt siècles dans ce pays.
Cette rencontre entre le mufti de Jérusalem et Adolf Hitler eut lieu quelques mois après le Fahroud






Ce massacre ne fut pas le fruit d’une initiative spontanée mais le résultat de nombreux mois de propagande antisémite instillée quasi quotidiennement par le gouvernement irakien pro-nazi installé en 1940 et surtout, par le mufti de Jérusalem Hadj Amin Al-Husseini, l’un des instigateurs principaux de cet antisémitisme meurtrier.


Recherché par les Britanniques pour sa responsabilité dans la Grande révolte arabe en Palestine de 1936, cet admirateur de Hitler, partisan de la Solution Finale et inventeur du mouvement nationaliste « palestinien » avait fui la Palestine mandataire en 1937 pour le Liban. Recherché ensuite par les Français, il avait fui le pays du Cèdre en 1939 pour se réfugier en Irak où il fut accueilli en héros national. Jusqu’à sa nouvelle fuite vers l’Iran après la victoire britannique sur l’Irak en mai 1941, le mufti eut l’occasion de diffuser sa propagande nazie dans les médias irakiens et à orchestrer le massacre du Farhoud, notamment avec des fonds venus d’Allemagne.
Lors d’une émission télévisée dimanche soir, la question s’est posée de savoir pourquoi ce massacre qui s’est déroulé en Orient durant la Shoah n’a pas été retenu dans l’historiographie israélienne comme conséquence de la propagande nazie et qu’il est si méconnu de la jeunesse. La réponse la plus pertinente qui a été donnée est qu’il ne fallait pas mettre en évidence le lien ontologique entre le nazisme et le mouvement national palestinien qui s’en est pourtant grandement inspiré. Ce n’était pas « politiquement correct ». Il y a encore aujourd’hui en Israël une réticence coupable à insister sur les passerelles établies entre le nazisme et les mouvements islamiques entre les années 1920 et 1940 et sur les liens étroits, structurels même, entre le nazisme et la naissance du nationalisme arabe dit « palestinien ».
Cette occultation aux conséquences politiques très graves se double d’une injustice criante envers les familles des victimes: tout comme en mars 2019, la Cour suprême a rejeté cette année un recours déposé par des organisations représentant des Juifs originaires d’Irak qui demandaient à ce que les victimes de ces progroms ou leurs descendants soient reconnus comme victimes des persécutions nazies. Bien que reconnaissant que l’Allemagne nazie était en partie responsable des émeutes du Farhoud, les juges ont interprété de manière restrictive la loi de compensations de 1957, excluant de son champ les victimes du « Farhoud »!

Kotel 1967: Chavouot célébré par des milliers de Juifs (archives)


Des milliers de Juifs israéliens ont envahi la vieille Jérusalem aujourd’hui pour célébrer Chavouot au Mur des Lamentations, le plus saint des sanctuaires du judaïsme, pour la première fois depuis 19 ans.
La célébration de la fête au mur, en partie lié au temple de Salomon, a également marqué la première fois depuis des siècles que les Juifs pouvaient adorer au mur sans les restrictions qui leur étaient imposées par les maîtres successifs romains, arabes, turcs et britanniques de ce lieu saint. 
Les services de Chavouot ont leur origine dans une injonction biblique appelant les Juifs du monde entier à faire un pèlerinage au Temple pendant les trois grandes fêtes juives.
Les ingénieurs de l’armée israélienne se sont précipités hier pour achever la tâche de construire une route d’accès sur laquelle les milliers de Juifs ont traversé aujourd’hui du mont Sion à travers la vieille ville jusqu’au mur. 
Seuls les piétons étaient autorisés dans la région pour les vacances. Tandis que les ingénieurs ont terminé la route hier et enlevé les mines et autres débris, les patrouilles étaient occupées à nettoyer les positions de tireurs d’élite restantes dans la vieille ville d’où des tirs occasionnels avaient lieu.
Le chef des Samaritains, les descendants de l’ancienne secte palestinienne qui avait suivi des variations de certaines parties de la pratique biblique du judaïsme, est entré en Israël aujourd’hui pour rencontrer des membres de sa secte pour la première fois depuis la création de l’État juif. Il était accompagné du chantre des Samaritains.
Les Samaritains ont exprimé leur appréciation aux autorités israéliennes pour le fait que les 300 membres de la secte, qui ne sont pas considérés comme juifs, pourraient observer ensemble la fête de Chavouot sur leur lieu saint du mont Gerizin dans le territoire à l’ouest du Jourdain maintenant administré par Israël. Une soixantaine de Samaritains avaient vécu en Israël.

IL EST ORDONNÉ À DES UNITÉS ISRAÉLIENNES Du SINAÏ D’AIDER DES SOLDATS ÉGYPTIENS ERRANTS

Un ordre a été donné aujourd’hui à toutes les unités israéliennes dans la péninsule du Sinaï pour fournir une aide immédiate à tous les soldats égyptiens, trouvés dans la péninsule, qui n’ont opposé aucune résistance, dans un effort israélien massif pour sauver les quelque 10 000 soldats égyptiens qui erreraient dans le désert brûlant sans eau.
 Après une telle assistance, les Égyptiens seront placés dans des camions à destination de la zone du canal de Suez, recevant de l’eau et laissés pour retourner en Égypte.
Sous d’autres ordres, des unités israéliennes spéciales ont chassé à travers le désert dans une collection d’énormes quantités d’équipements égyptiens jetés, y compris des armes, des munitions et du carburant jetés par les troupes égyptiennes en déroute.
Un porte-parole a déclaré que les fournitures égyptiennes capturées et certains équipements saisis aux Jordaniens avaient déjà été transférés dans des unités blindées israéliennes, y compris des chars américains Patton M-48 fournis à la Jordanie.
(Le baron Edmund De Rothschild, de retour à Paris après une semaine de visite en Israël, a déclaré hier à Paris que l’équipement militaire de fabrication soviétique abandonné par les Égyptiens lors de leur retraite pelle-mêle la semaine dernière dans la péninsule équivalait à une forte somme)
Le général Yeshayahu Gavish, commandant du front sud, a déclaré lors d’une conférence de presse à Tel Aviv que des unités israéliennes avaient saisi intact dans la péninsule du Sinaï un site égyptien pour neuf missiles sol-air de fabrication soviétique lors de la traversée de la péninsule. 
Les missiles SA-2 sont une arme de défense soviétique standard exportée vers de nombreux pays et utilisée contre les avions américains au Nord-Vietnam. Le général Gavish a déclaré que certains missiles avaient été tirés sur des avions israéliens pendant les combats du Sinaï, mais que tout avait raté.

De l’art à la babka, comment les Juifs parisiens affrontent la pandémie ?


Plusieurs entrepreneurs juifs parlent de l'incertitude qui règne alors que le confinement se prolonge et évoquent les nouvelles possibilités qui s'ouvrent à eux...


PARIS (JTA) — Ces cinq dernières années ont été agitées pour les Parisiens. Des attentats de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher, de Montrouge, ceux de novembre 2015 au soulèvement des Gilets Jaunes et à la grève qui a paralysé Paris fin 2019, l’économie locale et la population ont vécu des moments difficiles.
Actuellement, avec la pandémie et les mesures de confinement imposées pendant huit semaines, les habitants de la capitale ont été confrontés à davantage d’incertitudes.
La crise du coronavirus a aussi affecté de nombreux aspects de la vie juive, notamment pour les entrepreneurs et spécialistes des arts créatifs et culinaires, de façon aussi prévisible qu’inattendue.
En voici quelques exemples.

La fragilité des lieux de restauration casher

Au cours des deux dernières années, les spécialités juives comme le rugelach, la babka et la hallah ont fait leur apparition dans les vitrines des boulangeries de la ville. Alors quand Emmanuel Murat et Sarah Amouyal ont ouvert la boulangerie Babka Zana, le 15 janvier, ils étaient pleins d’espoir.
Leurs produits, depuis les brioches babka aux sandwichs à la hallah, ont rapidement gagné en popularité dans les médias français, attirant les foules dans leur établissement de Pigalle. Mais deux mois plus tard, tout s’est arrêté.
Les spécialités de Babka Zana, une boulangerie de Paris. (Crédit ; Geraldine Martens/via JTA)
« En tant que boulangerie, nous étions considérés comme un service essentiel et pouvions rester ouvert, mais nous ne pouvions pas garantir la sécurité de notre équipe ni celle de nos clients », explique Emmanuel Murat.
En suivant les mesures sanitaires strictes et un processus de fabrication adapté aux mesures de distanciation sociale, Sarah Amouyal et lui ont rouvert Babka Zana à la livraison et aux commandes à emporter le 17 avril. Mais l’avenir reste incertain.
« Je suis de nature optimiste, mais ça va prendre du temps », indique Emmanuel Murat. « Tous les restaurants n’y survivront pas ».
Emmanuel Murat et Sarah Amouyal, le couple qui a fondé la boulagerie Babka Zana à Paris. (Crédit : Geraldine Martens/via JTA)
Pour Chiche, un restaurant israélien qui a ouvert il y a trois ans place de la République, où manifestations et rassemblements sont légion, les affaires commençaient tout juste à rebondir après les grèves de la fin de l’année dernière. Jonathan Sason-Cohen, l’un des copropriétaires, a estimé que le chiffre d’affaires avait baissé de 45 % pendant les grèves, qui ont paralysé les transports publics pendant plus d’un mois et demi.
Et la pandémie a porté le coup fatal.
Nous ne savons pas si nous pourrons rouvrir ni dans quelles conditions.
À compter de la septième semaine de confinement, Jonathan Sason-Cohen assurait des livraisons sans contact le vendredi, pour des repas et des accessoires, comme des tote bags, pour les commandes passées en ligne. Mais ses perspectives post-confinement restent assez pessimistes.
« C’est vrai que nous sommes chanceux en France, grâce aux aides de l’État et à l’option du chômage partiel, mais ça ne fait pas tout », commente-t-il. « Nous ne savons pas si nous pourrons rouvrir ni dans quelles conditions. Si nous ne pouvons pas remplir la salle, cela pourrait ne pas être rentable de rouvrir ».

Le projet photo inattendu d’un réalisateur

Pour Philip Andelman, un expatrié américain qui réalise des spots publicitaires et des clips dans le monde entier, la pandémie a été synonyme de nombreuses premières fois : la première fois que la quasi-totalité de son travail s’est évaporée et la première fois, en 11 ans de vie à Paris, qu’il a passé du temps avec sa femme et son fils.
« Aux débuts du confinement, je faisais une proposition pour un nouveau clip des Rolling Stones et j’avais une idée qui plaisait au label, mais elle ne pouvait pas être réalisée avec une équipe de moins de cinq personnes (nos équipes standard en comptent entre 30 et 200) et même cela les a fait réfléchir (et nous n’avons pas pu obtenir d’assurance), alors le projet a été mis en attente », explique-t-il dans un courriel.
Le réalisateur a reconnu que ce temps libre inattendu lui a donné l’occasion de commencer à développer deux projets de plus longue durée qui ont toujours été mis en veilleuse. Et d’apprendre à son fils, Woody, à faire du vélo.
Le réalisateur de clips Philip Andelman documente des lieux publics vides de Paris pendant le confinement, en mai 2020. (Crédit : Philip Andelman/JTA)
« En un jour, il s’est mis à faire le tour des Tuileries », raconte Philip Andelman.
C’est pendant ces promenades qu’il a commencé à prendre des photos de la ville, inhabituellement vide.
L’absence de vie sur la place de la Concorde, les boutiques fermées autour de l’opéra Garnier et l’immobilisme de la Seine, autant de scènes qu’il a capturées sur sa page Instagram, devenue une chronique du confinement.

Des influenceurs culinaires

Avant la pandémie, Sharon Heinrich et Gali Hadari, toutes deux originaires de Tel Aviv, passaient six jours sur sept à gérer des visites culinaires, un projet appelé Paris Chez Sharon.
Elles faisaient venir les visiteurs dans les pâtisseries de grands chefs de la ville et organisaient des démonstrations exclusives avec leurs boulangers et chocolatiers préférés. Ces deux femmes avaient du mal à suivre la demande.
Sharon Heinrich, à gauche, et Gali Hadari gèrent Paris Chez Sharon. (Crédit : Jérémie Korenfeld/via JTA)
Et d’un coup, tout s’est arrêté. Elles ont profité de cette période de confinement pour élaborer de nouvelles stratégies commerciales, construire un nouveau site web, renforcer la présence en ligne de Sharon (près d’un demi-million d’abonnés sur Instagram) en publiant de nouvelles (et alléchantes) vidéos, et se connecter avec leurs fans du monde entier grâce aux conférences Zoom et aux chats en direct sur Instagram avec de grands chefs, tels que Nicolas Paciello et Angelo Musa.
Il se pourrait qu’elles n’aient pas de clients pendant plusieurs mois, mais Gali Hadari en tire un enseignement philosophique.
« Dans notre cas, nous avons passé plus de temps de qualité ensemble et cela a renforcé notre opinion selon laquelle notre vie devrait consister à acheter moins de choses matérielles et à nous concentrer sur des expériences enrichissantes », explique-t-elle.
Sharon Heinrich avec le chef pâtissier Pierre Herme. (Crédit : Gali Hadari)

Pour les artistes, une nouvelle façon d’exposer

Tamara Piller, conceptrice d’interfaces et directrice artistique franco-australienne, la quarantaine lui a donné du temps pour réfléchir à son travail.
« J’ai été inspirée par mon amie Léa Namer, dont l’exposition d’architecture a été annulée à la dernière minute, à cause de la pandémie », indique-t-elle. « Je voulais repenser l’expérience sur la Toile, aller au-delà d’une expo virtuelle, alors j’ai commencé par lui créer un site« .
Tamara Piller a également profité du confinement pour renouer émotionnellement avec Léa Namer, une architecte franco-argentine. Elles ont toutes deux travaillé de longues heures, mais ont maintenu leur rituel du vendredi soir consistant à réciter la bénédiction devant du vin et des bougies.
Elles collaborent maintenant sur un site web qui, selon Tamara Piller, sera une meilleure plateforme virtuelle en ligne pour les artistes et les chercheurs qui souhaitent exposer leurs travaux.
« Il y a tellement de potentiel pour une plateforme dédiée à l’hébergement d’expériences pour d’autres œuvres, c’est donc ma prochaine étape », annonce-t-elle.

Les communautés basculent sur la Toile, plus dynamiques que jamais

À Kehilat Gesher, la seule synagogue progressiste trilingue (français, anglais et hébreu) de la région parisienne, le calendrier des événements est bien rempli depuis le début du confinement. Des sedarim virtuels diffusés en direct sur YouTube aux cours de judaïsme, en passant par les sessions du club de lecture et les prières du matin sur Zoom dirigées par le rabbin Tom Cohen, les fidèles ont pu rester en contact avec la communauté.
« Les fléaux dont nous souffrons actuellement (certainement le réveil de la crise du coronavirus, mais aussi la détresse environnementale, le changement climatique et le terrorisme, pour ne citer que quelques-uns des fléaux modernes), comme les 10 plaies, ne sont pas seulement des obstacles à ce que nous puissions enfin jouir d’une réelle liberté et d’une rédemption spirituelle », a écrit le rabbin Cohen sur sa page Facebook une semaine avant Pessah. Elles nous invitent à travailler à la transformation « du jour d’après », lorsque nous quittons nos maisons ».

Lyon : les Berges du Rhône dans un état pitoyable, son coup de gueule relayé des centaines de fois...


Samedi soir, pour le second week-end post-déconfinement, les Lyonnais ont recommencé à faire la fête dans des proportions parfois importantes.

Et ce dimanche matin, les Berges du Rhône avaient été laissées dans un était pitoyable : bouteilles de bières, sacs plastiques, packs en carton… A perte de vue, des déchets s’accumulaient sur les marches de l’un des sites préférés de la jeune lyonnaise pour se retrouver lors des beaux jours.


Des clichés de ces déchets ont été pris peu après 6h du matin et publiés sur Facebook par Reine Ramon, qui écrit : "Responsabilité citoyenne? Respect écologique ? Dignité ? Honte. Dans une heure tout aura été nettoyé, comme tous les matins. S'il vous plaît, partagez, pour que les lyonnais "voient" et que les fêtards, peut être, demain, ramènent un sac poubelle en plus de leur pack de bière".

Un appel qui a été largement partagé. Plus de 700 personnes l’ont ainsi relayé sur les réseaux sociaux.

Lès Wexner propriétaire de Victoria Secret & d’Abercrombie and Fitch...


Lès Wexner est un milliardaire et homme d’affaires américain. Il est né dans l’Ohio au sein d’une famille juive russe.
Il est à l’origine d’un véritable empire commercial dans le monde de la mode : Lès Wexner est le propriétaire de la célèbre marque de lingerie Victoria Secret ainsi que d’Abercrombie and Fitch
Sa fortune étant estimé à 4 milliards de dollars, Lès Wexner se livre régulièrement à des activités philanthropiques. Le 16 février 2011, Wexner a réalisé un don de 100 millions de dollars à l’état de l’Ohio, qui sera alloué au centre médical universitaire et à l’hôpital James Cancer. Ce dernier est le plus important don de l’histoire de l’université.
Très attaché à ses racines juives , Wexner est également très actif au sein de la communauté juive au Etats Unis. En 1985, il a rejoint le rabbin Herber Friedman pour établir le premier programme de la Fondation Wexner , visant à «éduquer les dirigeants communaux juifs à l’histoire, à la pensée, aux traditions et aux défis contemporains du peuple juif». 
En 1991, il rejoint le Mega group, un cercle regroupant les hommes d’affaires les plus riches et les plus sensible à la cause juive. Max Fischer , Michael Steinhardt , Leonard Abramson Edgar Bronfman et Laurence Tisch appartenaient également au groupe.
Grand admirateur d’Israël , Lès Wexner consacre aussi une partie de sa fortune à des organisations et institutions à travers l’état d’hébreu.
Donateur de longue date du parti républicain, il quitte le parti depuis l’arrivé de Donald Trump à sa tête . « Je ne soutiens pas ce non-sens au sein du parti républicain ». Il se déclare maintenant comme indépendant en politique.
Jusqu’à ce qu’il quitte le parti, il était considéré comme le républicain le plus riche de son état avec une fortune estimée à 4,7 milliards de dollars.
A travers la fondation qui porte son nom, Wexner a longtemps soutenu une série de programmes visant à développer un leadership pro-israélien chez les adolescents, les adultes, les bénévoles et les professionnels communautaires juifs.
Par Noam Landsky – Juifs célèbres © Tous droits réservés

Le lendemain de Chavouôt...


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Halakhot

  •  Le lendemain de Chavouôt
    Le lendemain de Chavouôt :
    Les sacrifices de Chavou’ot continuaient à être apportés au temple pendant 7 jours après la fête, c’est pour cette raison que nous avons le Minhag de ne pas réciter les Ta’hanounim (supplications) 7 jours après la fête de Roch ‘Hodech Sivan jusqu’au 13 Sivan (en incluant le 13) et en Diaspora jusqu’au 14 Sivan.
    Références : Rabbi Moché Isserlas dans le Choulhan Aroukh Siman 494, Saïf 3, Rabbi Abraham Ben Haïm Abali HaLevi Gumbiner z.t.l dans son Séfer Maguen Avraham Saïf Katan 4, Rabbi Chlomo Auerbach z.t.l. dans Halikhot Chlomo page 391, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans H’azon Ovadia Halakhot Yom Tov page 323, Rabbi Éliyahou Bitton Chlita dans Nétivot Hamaârav page 208 Halakha 29, Rabbi David Ovadia Chlita dans Nahagou Haâm Halakhot Chavouôt, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans Kaf Hahaïm section Ora’h Haïm siman 494 Saïf Katan 52, Rabbi Rafaël Baroukh Tolédano z.t.l dans son Kitsour Choulhan Aroukh page 176 , Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef sur les lois de Téphila volume 2 Siman 131 Saïf 36 et dans Chéérit Yossef volume 3 page 238, Rabbi Yossef Méssas z.t.l dans son Responsa Maïm ‘Haïm Siman 50, Rabbi Yossef Ben Naïm z.t.l. dans son Séfer Noheg Bé’Hokhma page 50, Rabbi Éliyahou Bitton Chlita dans Nétivot Hamaârav page 208 Saïf 29, Rabbi Yits’hak Ben Walid z.t.l dans son Responsa Vayomer Yits’hak Ora’h Haïm Siman 25.
    D’autres ont le Minhag de ne pas réciter les Ta’hanounim (supplications) de Roch Hodech Sivan jusqu’à 7 jours après la fête de Chavouôt, jusqu’au 12 Sivan (en incluant le 12) de même pour les juifs de la diaspora. Les sacrifices de Chavouôt continuaient à être apportés au Temple pendant 7 jours après la fête.
    Références : Guémara Roch Hachana page 4a, Rabbi Moché Bar Maïmone z.t.l Rambam, Halakhot Haguiga Chapitre 1 Halakha 7, Rabbi Moché Isserlas z.t.l dans le Choul’han Âroukh section Ora’h Haïm Siman 494 Saïf 3, Rabbi Abraham Gombiner z.t.l dans le Maguen Abraham Saïf Katan 4, Rabbi Mordékhaï Yafé dans le Lévouch Siman 494, Rabbi Chlomo Zelmann Oyrbakh z.t.l, dans Responsa Halikhot Chlomo page 391, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia volume Halakhot Yom Tov page 323, Rabbi Alexandrie Zoslin HaCohen z.t.l. dans son Séfer HaHagouda à la fin de la Guémara Haguiga, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans Kaf HaHaïm section Ora’h Haïm Siman 494 Saïf Katan 52.
    Le lendemain de la fête de Chavouôt s’appelle Isrou Hag, il est interdit de faire d’oraison funèbre et de jeûner.
    Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Âroukh Siman 494 Saïf 3, Rabbi Mordékhaï Yafé z.t.l dans le Lévouch Siman 41 Saïf 3, Rabbi Chnéour Zelmann de Lyadi z.t.l dans son Choul’han Âroukh HaRav  Siman  429 saïfs 17 et 19, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l  dans Kaf HaHaïm, section Ora’h Haïm Siman 494 saïf Katan 48.
    Ce même jour, il est conseillé de faire un repas avec des Divré Torah et de considérer comme si nous étions encore en fête.
    Références : Rabbi Moché Isserlas z.t.l  dans le Rama du Choul’han Âroukh section Ora’h Haïm chapitre 429  Siman 2, Talmoud Yérouchalami dans la Guémara Avoda Zara chapitre 1 Halakha 1.
    Nos Sages nous enseignent, que tout ceux qui organisent un repas, Hachem les considèrent comme si ils avaient construit un autel afin d’offrir un sacrifice expiatoire.
    Références : Guémara Souka page 45b, Guémara  Bérakhot page 55a Guémara Ménahot page 97a. 
    Toujours le lendemain de Chavouôt , certains ont le Minhag (coutume) d’organiser une cérémonie de Guéniza, d’enterrer avec respect tous les livres et objets de Kédoucha (sainteté) inutilisables. Ceci avec des chansons et des piyoutim tout en accompagnant la Guéniza au cimetière. Nous faisons ceci pour montrer l’honneur donné à la Torah et l’amour qu’elle a à nos yeux.
    Références : Voir Guémara Bérakhot page 48 b sur les morts de Bétar, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh, Ora’h Haïm siman 124 Siman 5 et dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ siman 282 Siman 10, Rabbi Éliyahou Bitton Chlita dans Nétivot Hamaârav page 207 Halakha 24, Rabbi David Ovadia Chlita dans Nahagou Haâm page 107 saif 10, Rabbi Yossef Méssas z.t.l. dans Maïm Haïm Siman 50, Otsrot HaMagreb Halakhot Chavouôt, Rabbi Yossef Ben Naïm z.t.l.dans Noheg Bé’Hokhma page 50.

    Aphorisme :

    Si je n’étais pas tombé, je ne me serais pas relevé, si je n’avais pas été plongé dans les ténèbres, je n’aurais pas pu voir la lumière.

Par le mérite des Tsadikim, qu’Hachem protège tout le Âm Israël, Amen

  •  Hilloulot 8 Sivan
    �� Rabbi Elichâ Ashkénazi z.t.l. de Salé au Maroc
    �� Rabbi Ezra Hosni z.t.l, né en 1946, décédé en 1956, Roch Yéchivah de Porat Yossef à Jérusalem.
    �� Rabbi Haïm Moché z.t.l  le grand-père du Ben Ich Haï z.t.l.
    �� Rabbi Menahem Manish Safrin z.t.l  , de Komarna Rav de Bné Brak, décédé en 1990.
    �� Rabbi Moché Blau z.t.l  Israël de la Agoudat Israël, mort en sauvant des survivants juifs. né en 1885, décédé en 1946.
    �� Rabbi Moché Lévy z.t.l
    �� Rabbi Moché Néhamya Kahanov z.t.l  Israël, auteur du  Houkot Ôlam, Rav à Chasalvitz et Jérusalem, né en 1817, décédé en 1887.
    �� Rabbi Yéhochouâ Monsonégo z.t.l  Rav de Fès au Maroc auteur de Chévilé HaMichpat, décédé en 1892.
    �� Rabbi Yissakhar Dov Goldstein z.t.l, décédé en 1988, Rav du Kollel Chomré HaHomot, auteur du Likouté Héârot sur le Responsa du  Hatam Sofer.
    �� Rabbi Zelmann Rotenberg z.t.l, né en Lituanie en 1913, décédé en Israël en 2002, Rosh Yéchivah Beit Méïr, Bné Brak
    Par le mérite des Tsadikim, qu’Hachem protège tout le Âm Israël, Amen.

Refoua Chelema et Réussite

  • Toutes les Halakhot sont dédiées à la protection et à la Réfoua Chéléma de tout le peuple d’Israël Amen et en particulier
      • Rav Kilav Chemla ben Shoulamit
      • Hervé Samuel Haim Ben Simha
      • Esther Bat Freha
      • Annaelle bat lea
      • Sarah bat Fortuné,
      • Annaël bat Esther
      • Eli Eliyahou Ben Victorine
      • Noam Yéhouda ben Yéhoudit
      • Ishaie Avraham Othniel ben Shmouel
      • Noam Yossef ben Shmouel
      • Maâyane Esther bat Shmouel
      • Hillel Chalom ben Shmouel
      • Nathan Israël Ben Yehoudit Berouria
    Amen

Léilouy Nichmat

  • De tous les défunts du âm Israël et en particulier
    • Yitshak ben Tsipora
    • Sarah Bat Rosa z.t.l.
    • Georges Yitshak Ben Hénéna ouben Chlomo z.t.l.
    • Gérard Guerchon Ben Yitshak
    • Fortuné Bat Camille Camouna
    • Tsipora bat Esther
    • Eliaou ben Freha Amoyal
    • Docteur Philippe Eliyahou Touitou z.t.l
    • חנה לינה בת לור לולה זל

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    Qu’Hachem vous bénisse et vous comble de bonheur Amen

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    ✅ A la mémoire d’un défunt …
    Merci d’avance Chers Amis de soutenir mon travail ainsi que la diffusion de la Torah

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9. Principaux déportés connus...

Jean Améry , écrivain autrichien, survivant d’Auschwitz, de  Buchenwald  et Elie Wiesel en 2010 . de  Bergen-Belsen . Karel Ančerl...