Un rapport de l'ONU lance l'alerte : "Si nous continuons (...) à détruire nos écosystèmes, nous pouvons nous attendre à voir un flux constant de ces maladies passer des animaux aux humains dans les années à venir."
a science est claire : si nous continuons à exploiter la faune et à détruire nos écosystèmes, nous pouvons nous attendre à voir un flux constant de ces maladies passer des animaux aux humains dans les années à venir." Dans un rapport rendu public en début de semaine, l'ONU alerte sur les risques de nouvelles pandémies dues à une transmission de l'animal à l'homme.
Selon un résumé de l'ONU, notre mode de vie est en cause. Il met notamment en avant "une demande accrue de protéines animales; une augmentation de l'agriculture intensive et non durable; l'utilisation et l'exploitation accrues de la faune; et la crise climatique."
Selon un résumé de l'ONU, notre mode de vie est en cause. Il met notamment en avant "une demande accrue de protéines animales; une augmentation de l'agriculture intensive et non durable; l'utilisation et l'exploitation accrues de la faune; et la crise climatique."
"Pour prévenir de futures épidémies, nous devons devenir beaucoup plus conscients de la protection de notre environnement naturel", prévient l'organisation internationale. Elle souligne que l'Afrique "en particulier" est une des clefs pour "éviter les flambées futures."
Le monde, et en premier lieu l'Afrique, doit développer "des approches intégrant la santé humaine, animale et environnementale." "Mais avec leurs expériences avec Ebola et d'autres maladies émergentes, les pays africains montrent des façons proactives de gérer les épidémies. Ils mettent en oeuvre, par exemple, de nouvelles approches basées sur les risques plutôt que sur des règles pour lutter contre les maladies", explique l'ONU.
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