En 2000, le Dr Lionel Krief s’est associé avec la Dr Valérie Daneski pour diriger deux centres de médecine nucléaire en Picardie dans le cadre d’une SCP.
Réputé mondialement, ce médecin Français Juif brillant a envisagé en 2007 de lancer deux projets médicaux d’envergures européenne et scientifique dans cette région française.
Initiées en 2008 notamment afin de dissoudre la SCP Krief Daneski, des procédures judiciaires, aux verdicts souvent iniques, ont mené à la ruine du Dr Krief.
Inactions de ministres de droite et de gauche, refus d’agir ou inefficacité d’organisations et d’intellectuels juifs, « dysfonctionnements » d’institutions publiques, d'ordres professionnels et d'auxiliaires de justice, faillites de l’Etat dans ses missions régaliennes, discriminations non sanctionnées, establishment, entités et bureaucraties incontrôlés ou oublieux de leurs missions, absence de mises en jeu de responsabilités publiques, intérêt général dédaigné, « système-de-santé-que-le-monde-entier-nous-envie » partialement peu sourcilleux, propos antisémites, soupçons d’affairisme, de collusions et de conflits d’intérêt, omerta médiatique, violences physiques, harcèlements tous azimuts visant le couple Krief, décès suspect, menace d'un huissier de justice de casser une porte…
A la confluence entre politique et santé, à la jonction entre secteurs public et privé, à l’articulation entre pouvoirs politiques nationaux et locaux, l’affaire Krief s’avère emblématique d’un « antisémitisme d’Etat » sous un « gouvernement des juges » spoliateur.
Une « affaire d’Etat » où Laurence Rossignol, ministre (2014-2017) du gouvernement de Manuel Valls et alors sénatrice de l’Oise (Picardie), a conseillé en 2012 au Dr Krief et à son épouse Rina une « fuite salvatrice » pour « sauver » leur « peau » loin de cette « affaire sordide ».
Une affaire qui souligne aussi l’absence d’une institution représentative des Français juifs susceptible de les sauver d’attaques létales, préalables à leur exil pauvres comme Job.
J’invite les lecteurs à ne pas se laisser rebuter par la longueur de ce dossier actualisé, car la spoliation n’arrive pas qu’aux autres. Et la pandémie de coronavirus révèle que certains de ses ingrédients se trouvaient déjà dans l'affaire Krief : inaction d'autorités (ministres, ARS), ruine d'entrepreneurs, licenciements de salariés, etc.
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