Des scientifiques de l’Université hébraïque de Jérusalem et du mont Sinaï à New York ont empêché le Covid-19 de se reproduire. Dans les tests de laboratoire, le virus a été détruit en 5 jours sur des tissus pulmonaires qui avaient été exposés au traitement anti-cholestérol Fenofibrate (Tricor).
Les virus sont des ingénieurs métaboliques efficaces qui recâblent activement les voies métaboliques de l’hôte pour soutenir leur cycle de vie. La cartographie des changements métaboliques induits par le SRAS-CoV-2 dans les cellules pulmonaires pourrait offrir un aperçu de la pathogenèse du COVID-19 tout en présentant de nouvelles cibles thérapeutiques. Ici, nous montrons que la réponse transcriptionnelle SARS-CoV-2 dans les cellules épithéliales pulmonaires primaires et les biopsies des patients COVID-19 est principalement métabolique.
La protéine virale ORF3a semble interagir avec les trois voies suggérant à la fois une modulation directe et indirecte du métabolisme de l’hôte. Enfin, nous montrons que le fénofibrate PPARα-agoniste a inversé les changements métaboliques induits par le SRAS-CoV-2 bloquant la réplication virale. Ensemble, nos données suggèrent qu’un métabolisme lipidique élevé peut être à l’origine de certains aspects de la pathogenèse du COVID-19, offrant de nouvelles voies thérapeutiques pour cibler cette voie critique sur laquelle le virus s’appuie.
La protéine virale ORF3a semble interagir avec les trois voies suggérant à la fois une modulation directe et indirecte du métabolisme de l’hôte. Enfin, nous montrons que le fénofibrate PPARα-agoniste a inversé les changements métaboliques induits par le SRAS-CoV-2 bloquant la réplication virale. Ensemble, nos données suggèrent qu’un métabolisme lipidique élevé peut être à l’origine de certains aspects de la pathogenèse du COVID-19, offrant de nouvelles voies thérapeutiques pour cibler cette voie critique sur laquelle le virus s’appuie.
La protéine virale ORF3a semble interagir avec les trois voies suggérant à la fois une modulation directe et indirecte du métabolisme de l’hôte. Enfin, nous montrons que le fénofibrate PPARα-agoniste a inversé les changements métaboliques induits par le SRAS-CoV-2 bloquant la réplication virale. Ensemble, nos données suggèrent qu’un métabolisme lipidique élevé peut être à l’origine de certains aspects de la pathogenèse du COVID-19, offrant de nouvelles voies thérapeutiques pour cibler cette voie critique sur laquelle le virus s’appuie.
Article original sur RakBeIsrael : https://rakbeisrael.buzz/des-scientifiques-israeliens-ont-utilise-des-medicaments-reduisant-les-graisses-des-poumons-pour-tuer-le-coronavirus/
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